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Pensée belge

Observation et collage faits, on reprend la route (après un plein d’essence mais bon je ne m’attarde pas sur ça) pour environ 1heure jusqu’à Solvang (http://www.solvangusa.com/) . Cette ville est autre curiosité vraiment curieuse (pour être redondant) de la région. Fondée en 1911 par un groupe de Danois, la ville, de nos jours plus qu’un repère à touristes, offre un bout de Danemark en plein milieu de la Californie. Les quelques rues sont peuplées de boulangeries (très populaires), d’hôtels et de boutiques. C’est plutôt surprenant de voir une architecture danoise avec moulin à vent et rues qui se nomment « Copenhaguen » et cie.
On se parque dans un des nombreux parkings gratuits (tout pour attirer le touriste je vous dis) puis on part à pieds à la découverte de ce lieu bizarre. Une petite promenade dans les rues plus tard (sans avoir osé tester une brioche danoise, trop peur du « over-sucré » ), on quitte ce lieu bien trop « on-veut-les-touristes-pour-faire-des-pépétes-mais-au-final-ce-n’est-ni-authentique-ni-super-intéressant ».
Super sèche-main (peau décollée des os compris :p) A 11h45, on prend la route pour Santa Barbara. Une autre heure de route et on y est. Pouah, le temps est tjs gris…vous êtes sûr qu’on est en Californie ??? ^^

J'ai eu mal au ventre tellement j'ai ri en voyant la scène dans les toilettes !!

Je viens de me rendre compte que j'avais loupé une partie du jour 11 alors je l'intercale ^^

DONC CECI SE PASSE AVANT LE JOUR 12

Jour 11 (11 juillet 2012) : Monterey-San Luis Obispo : Beautiful Pacific Coast (à intercaler entre part I et part II ^^)

On reprend ensuite la route à la poursuite du soleil sur la côte californienne en empruntant la belle California State Route 1. De très beaux panoramas à flan de falaise qui donnent parfois le vertige mais émerveille toujours. De temps à autre, on se trouve au-dessus du fog, captant les rayons de soleil et se retrouvant sur une sorte de matelas tout cotonneux !
Petit hic sur la route : on s’arrête à se qu’on croit être Julia Pfeiffer Burns State Park pour voir la fameuse chute sur la plage. MAIS (et ce sera le seul gros hic du voyage), je ne fais pas attention et fonce tête baissée alors qu’il s’agit en fait de Julia Pfeiffer Big Sur State Park (quelle idée aussi de nommer deux parcs avec côzi le même nom ). Bref, on se tape –au début sans se poser de questions- une marche au soleil bien chaud (car évidemment quand on en a pas besoin, le soleil est là) dans les bois et la poussière -et en robes et sandalettes- pour…. RIEN ! Ce n’est qu’après ¾ de marche que j’abandonne mes comparses délaissés éparpillés sur le chemin pour aller voir Julia Pfeiffer Falls -chutes que je pensais au début les bonnes mais plus on s’avançait, plus je doutais- au bout du chemin (en trottinant –vive le sport- tel Bambi :p). Résultat : nul, deux pipis de chats et pas du tout LES chutes. On rebrousse chemin, bien fatigués de cette marche (en montée en plus) pour rien donc !
Retour case départ ! On reprend Bertha et quelques miles plus loin ! Yeepa, on est enfin au bon, le Julia Pfeiffer Burns ! Et cette fois qu’une mini-marche de 10minutes pour aller voir cette beauté de la nature. (Et tjs pas besoin de payer l’entrée vu que notre ticket tient pour toute la journée dans les S.P.)
Et ce qu’on tenait à voir ce sont les McWay Falls qui chutent de 24mètres de haut vers la plage et l’océan Pacifique. La première vision de ces chutes est juste, waouw : on en est bouche-bée par tant de beauté, c’est un panorama de paradis ! Et puis à seconde pensée, la frustration arrive : dommage qu’on ne puisse accéder à cette merveille (qui n’est donc visible que d’en-haut par le sentier créé à bord de falaise). Pour la troisième vague de réfléctions arrive : heureusement qu’on ne puisse pas attendre cet Eden, sinon il serait détruit par l’homme (d’ailleurs quelques malins –ironiquement appeler comme tel car ils sont plutôt c***- ont réussi à descendre –au péril de leur vie en plus- et maintenant des inscriptions dénaturent la plage vierge >.<)
Avant au bout du chemin, il y avait une maison qui font détruites à la demande de Julia Pfeiffer, une résidente de la région. Ils devaient avoir une sacrée vue !

DONC CECI SE PASSE AVANT LE JOUR 12


Retour case départ ! On reprend Bertha et quelques miles plus loin ! Yeepa, on est enfin au bon, le Julia Pfeiffer Burns ! Et cette fois qu’une mini-marche de 10minutes pour aller voir cette beauté de la nature. (Et tjs pas besoin de payer l’entrée vu que notre ticket tient pour toute la journée dans les S.P.)

Et ce qu’on tenait à voir ce sont les McWay Falls qui chutent de 24mètres de haut vers la plage et l’océan Pacifique. La première vision de ces chutes est juste, waouw : on en est bouche-bée par tant de beauté, c’est un panorama de paradis ! Et puis à seconde pensée, la frustration arrive : dommage qu’on ne puisse accéder à cette merveille (qui n’est donc visible que d’en-haut par le sentier créé à bord de falaise). Pour la troisième vague de réfléctions arrive : heureusement qu’on ne puisse pas attendre cet Eden, sinon il serait détruit par l’homme (d’ailleurs quelques malins –ironiquement appeler comme tel car ils sont plutôt c***- ont réussi à descendre –au péril de leur vie en plus- et maintenant des inscriptions dénaturent la plage vierge )
Avant au bout du chemin, il y avait une maison qui font détruites à la demande de Julia Pfeiffer, une résidente de la région. Ils devaient avoir une sacrée vue !

FIN DU 'FLASHBACK'

Je suis impressionnée par ton reportage complet sur le Madonna Inn !
On avait hésité en 2009 car notre budget était serré. Mais une chose est certaine désormais, le jour où on retournera sur la côte, on y passera pour dîner ou dormir (ou les 2) !

ON REVIENT DONC AU JOUR 12 APRES SOLVANG

Jour 12 (12 juillet 2012) : San Luis Obispo-Solvang-Santa Barbara-Los Angeles : Oh Santa Monica, je ne suis pas danois ! (part II)

A Santa Barbara (je ne sais pas pourquoi j’ai le mal de viiivreeee), on trouve une place dans un petit parking pas trop cher (oups je ne me souviens plus du prix). Avant toute chose, nos estomacs crient famine, il faut donc étancher leur faim et pour cela, nous nous rendons au Mac’s Fish & Chips Shop (503 State Street, Santa Barbar ; http://www.macssb.com ). Après le petit bout de Danemark, on se rend dans un petit bout d’Angleterre pour déguster de véritables Fish & Chips à l’anglaise. Le personnel est adorable, les portions sont généreuses (la petite est ce que nous appellerions grande), les sides géniaux (préféréz surtout le typique Mushy Pea) et l’ambiance plutôt cool. Bref, une bonne adresse pour un repas so British.

Mes comparses ont le ventre plein et la mine boudeuse : il fait moche, pas le courage d’aller jusqu’au Pier. Dommage ! On reprend direct la route pour L.A. (Jonathan ne se sent plus, comme dirait l’autre « y a son kiki qui frétille » )
En environ deux heures, on arrive à Hollywood où se situe notre hôtel sur le Hollywood Boulevard (pas sur le Walk of Fame mais c’est effectivement la même rue…vous savez aux states les rues font des miles et des miles). Le Hollywood Downtowner Inn (http://www.hollywooddowntowner.com/ ) est un charmant petit hôtel situé à la limite d’un quartier un peu louche (mais on n’a eu aucun soucis je vous rassure) tenu par une famille indou (d’où le fiston que Carole trouvait mignon surnommé « Apu » :P ). Les chambres sont assez grandes et propres. Mais c’est le minimum syndical : vieille TV, frigo et micro-onde + cafetière et sèche cheveux. Il y a également une piscine au centre du bâtiment (bâtiment en carré avec courette intérieure) , un parking gratuit (souvent plein ; Apu devra déplacer sa toto et nous garer Bertha par deux fois) et le top du top concernant cet hôtel : le petit déjeuner (mais ça vous dans le TR du lendemain :p). Les portes sont crades (peintures craquelées), apparemment en pleine rénovation. Pour le prix (comme d’ab super élevé en ville), c’est correct. Coût 543$ (pour 4nuits) avec taxes.
On s’installe à peine qu’on est reparti. Notre objectif de départ était Venice Beach et Santa Monica. Normalement il fallait une demi-heure de route pour rejoindre la plage mais c’est sans compter les célèbres bouchons de la ville des anges. L’autoroute est over-saturée et on mettra 2heures pour rejoindre Santa Monica (on a abandonnée Venice, il est déjà tard et au moins à Santa Monica, je sais qu’il y a des parkings). On se gare dans un parking à étages (payant mais pas si cher, on a payé je crois en tout environ 8$) puis on rejoint à pattes le Pier.