Forum SUNSET BLD

Si tu finances, je te suis

Oh merci Ronan
@Micabzh aucune remarque sur ta réflexion. Passe donc me voir voisin

J-3 :P

Ca peut se faire, je t'appelle rapidement.

Samedi 21 Février 2015

Jour 0 :

J’aime commencer par ce jour comme dans un nomanland, ce jour entre des vacances et les retrouvailles avec mon compagnon de route après 3 ans.

Je profite de cette matinée de brouillard pour aller faire une balade et immortaliser mes paysages de Bretagne et rêver d’un grand ouest qui nous attend demain





Dernier check des bagages




Contrairement à en 2012 (voir balade en 2012 en signature) Il ne s’est pas passé de choses extraordinaires en cette première soirée de retrouvailles. Alors, je laisse mon coeur de poète arranguer le fidèle lecteur qui me suit.

… Avec quelle précision me rappelai-je ce jour ! Février en Bretagne, délicieuse saison ! Pour une fois, il ne pleuvait pas. La vénérable gare de Rennes éclaboussée du vif vert de la vigne vierge (il faut bien imager, inventer, laisser votre imagination parler), trônait là, pour annoncer mon départ pour l’aéroport de Charles De Gaulle. Comme à chaque départ, nous privilégions les départs du matin pour arriver le plus tôt possible à destination. Cela implique de passer une nuit à l’aéroport.

Une fois n’est pas coutume, je suis toujours en avance et Eric toujours à la bourre.

J’étais à attendre le Palois commun à la gare routière de l’aéroport pour rejoindre notre hôtel. Je discutais avec une passagère avec sa famille en Ourdou (j’aime beaucoup l’Ourdou :P ) lorsque qu’un bruit arriva à nos oreilles et quoi qu’étouffé, il s’en dégageait, il s'en dégageait telle férocité que je demandai à ma voisine :

- Ont-ils installé une ménagerie dans les murs ?
- En quelques sorte, pouffa t’elle

Le son augmenta au fur et à mesure jusqu’au moment le bruit exposa alors dans tout sa fureur. Je reculais d’un pas, écrasant par là même le pied de mon voisin de tout mon poids (c’est peu dire)

- Eric criais-je pour couvrir le beuglement de ce puéril volcan.
- Que diable lui arrive t’il demanda ma voisine ?

Entendant, je ne sais par quel miracle ma voix, il s’arrêtat de bramer (rare le brame en février). Le silence fut tellement subit que nos oreilles se mirent à bourdonner. Eric posa son regard sur moi et se mit à gazouiller : Pascal !!! Bisous, Pascal Bisous.
Je m’enfuis en courant.
Nous devions ce soir là dormir l’hôtel Ibis mais des collègues que nous allions revoir une semaine plus tard dormaient dans un autre hôtel aussi nous avons décidé de les rejoindre pour un prix comparable (soit 68 €). Diner à l’hôtel à refaire le monde de la photo et couchés tôt pour nous lever le lendemain matin à 4H30 départ de l’avion à 7H05.

Bonne nuit cher lecteur assidu.

Demain commence le véritable voyage.

PS : J'ai demandé au Palois commun de venir crier ici toute la vérité de mes propos

Quelle torture sadique de ne nous distiller qu'une photo à la fois et quelle photo !

Jour 1 - Dimanche 23 Février

4H30. Permettez moi aimables lecteurs de me prendre en défaut, ce qui est rare, voir rarissime. Mais ce le reveil fut difficile malgré l’excitation du voyage. Et pourtant difficile est un mot très éloigné de mon vocabulaire, je n’en dirais pas autant d’Eric.
Nous retrouvons à l’accueil de l’hôtel deux collègues qui prenaient le même vol que nous, soit : 7h05 Paris/Francfort 10H10 Francfort/Los Angeles pour une arrivée à 12H45 (heure locale). Ne comptez pas sur moi pour vous narrez les anecdoctes les plus sanguinolantes des vols et vies à l’aéroport mais de merveilleux ouvrages dépeignent à merveille des vies que Balzac aurait aimé décrire.
Le vol fut des plus pénible (vous pardonnerez cette métaphore hasardeuse) que chaque vol à moins de pouvoir se payer la première classe. Si un jour, j’arrête de voyager, ce sera à cause de l’avion. Impossible pour moi de fermer l’oeil ne serait ce qu’une seconde. On m’a conseillé la mélatonine pour la prochaine fois.
12H45 l’avion est arrivé à l’heure dans la cité des anges . Nous avons la chance de tester les nouvelles bornes automatiques qui nous ont fait passer la douane à une vitesse qui nous aurait presque fait oublier la durée du vol.
C’est à ce moment que nous quittons nos collègues attendant une autre collègue qui arriverait sur un vol plus tard Nous nous dirigions vers les bus pour aller rejoindre les halls de location de voiture. J’ai eu le bonheur de lire sur Sunset que nous pouvions utiliser les bornes pour éviter de passer au comptoir est risqué de nous faire "fourguer" des assurances suplémentaire. Une seule voiture “au choix” Une Hundya Tuscon II.

1 - Mise en place du GPS que j’avais emprunté à MicahBZH, et sur lequel j’avais pris soin de rentrer tous les points GPS du voyage.
{point GPS} Impossible de lui faire comprendre que l’on dérire passer par les routes de traverse plutot que le plus rapide (même en indiquant sur la satanée bête notre envie)

2 – Mise en fonction la compil spéciale Californie, concoctée pour l’occasion. (j’avais gravé dix CD et nous n’en avons écouté aucun . Eric trouvait que ma compli californière n’avait que le nom mais pas le goût . Nous avons trouvé par la suite une radio difusée par internet dans la voiture “Coffe house”.

Et hop … Ce fut donc fiers comme “Artaban” et sans soucis que nous avons pu rejoindre notre premier hébergement à Santa Monica le SeaView hôtel. Un style pension pour surfeurs californiens (tout moi en définitif ! ne suis-je pas le breton pur beurre salé élévé sur un rocher) et vraiment pas loin de la plage et du Pier de Santa Monica. C’est d’ailleurs rapidement après nous être délesté de 239 € pour deux nuits d’hébergements et vidé nos bagages que nous sommes partis rejoindre l’océan pacifique . Je peux vous dire que j’étais impatient (en que breton pur beurre salé élevé sur un rocher) de mettre les pieds dans cet océan. Je vous rappelle, aimables lecteurs que nous sommes en Février et qu’en lieu et place, la fraicheur de l’eau est réputée. C’était sans compter sur ma bravoure légendaire comme j’ai pu vous le narrer à de nombreuses fois , mais restons modeste. Bon après une photo qui ne faisait que confirmer mon courage, j’ai péniblement remis chaussettes Damart et chaussures. Notez que je voulais aller me baigner entièrement mais devant l’impatience de ma compagnon de fortune qui rajoutait une couche en même temps que j’en enlevais, j’ai finalement renoncé .
La nuit s’installait sur la cote de Santa Monica lorsque que nous avons rejoints le Pier bien connu pour diner au Bubba Gump comme tout à chacun. Remise en route de la langue et nous voici devant notre premier repas garguantuesque et léger en calories.
Retour à l’hôtel en profitant pour faire évidement les photos du siècle et nous affalez comme des bêtes achevées sur nos lits et tentant de regarder à la télé la cérémonie des Oscars qui se déroulait à quelques encablures de notre lieu de résidence.

Je n’ai pas oublié bien entendu ce jour là de faire mon rapport à la famille Sunset Bld

To be continued…

(pour le moment photos inédites) Euh sua une :P

Ahhhh je le love déjà ce carnet!!! Et ces photos :lui Bon, tu es avares tout de même Pascal... A peine 6 photos pour ce premier jour... Je trouve cela plus que limite... :P

En effet, déjà de très belles photos