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Du coup, j'y publie mes TR (Trip Report) détaillés de mes visites de parcs.
Attention, les récits de voyages et ceux des parcs ne sont pas triés par chronologie entre eux !
Bonne lecture !
Avertissement : ce TR a été écrit pour mon site internet. A certains moments, vous lirez donc ''que vous trouverez dans la colonne de droite''. Dans cette fameuse colonne de droite, vous trouvez divers liens, divers blagues, divers images pour la plus part du temps complètement idiotes, des ''le saviez-vous ?'', ou encore des liens vers des images en haute résolution. Pour des raisons de codages, ces liens, ces trucs idiots et ces images ne sont pas reproduits ici. Ne vous inquiétez donc pas si vous ne voyez pas de quoi je parle
Ah, et si vous voulez les voir ces trucs idiots, vous connaissez l'adresse (l'argument marketing de ouf hé !) !. A savoir aussi que mon site n'est pas commercial, je ne me fais pas de fric par là-dessus.
Après avoir affronté (et vaincu !) les embouteillages de Los Angeles, nous voici dans le ‘’Jurassic Parking’’, à 20 minutes de l’ouverture du parc.
Pour y accéder, nous devons traverser le City Walk et, première constatation : ben c’est bien mieux que le Disney Village ! Une ambiance sympathique (même qu’on était seul ou presque !), et surtout des décors très farfelus !
Aujourd’hui, il fait beau : King Kong a mis ses lunettes de soleil !
Euh... ça, c’est moche (et en plus, il y a une échelle...)
Ah ben tiens, voilà Bubba Gump et son sourire... coquin !
Voilà pour les amateurs de jus de fruits...
Voilà ce qui arrive à force de regarder les affiche au lieu de la route ! Tu lui es en plein dans le décolleté maintenant !
Là aussi ? Il faut regarder avant de tourner !
Ah, on arrive...
Oh, une boutique Billabong !
Bon, c’est pas le moment d’aller faire les boutiques, le parc nous attend ! Après avoir acheté nos billets combinés Universal - Sea World, nous entrons dans le parc (à signaler qu’on vous ‘’prend’’ vos empreintes digitales aux tourniquets).
Le si célèbre globe Universal, avec un inconnu pour gâcher la photo...
Le tapis rouge nous attend !
Parmi les 3 statues, une est en fait une vraie personne. Laquelle ?
Alors, les premières impressions : déjà, premier point positif, il y a très peu de monde. Ensuite, on se croirait vraiment dans un studio ! Des décors très jolis, mais souvent sans aucun rapport entre eux, des petits détails farfelus ‘’à la City Walk’’, etc... Une vraie ambiance studios, que l’on a pas du tout aux Walt Disney Studios de Paris !
En suivant les conseils lus un peu partout sur le web, on se dirige vers le Studio Tour, en passant devant quelques décors, une réplique du sympathique requin de Jaws (Les dents de la Mer en VF), le village de Shrek, et une place de jeu encore fermé, qui avait l’air bien humide !
Et encore, sur cette photo, la moitié des effets ne sont pas en marche !
Le Studio Tour donc. Pour y accéder, on traverse un mini-pont, et (habitude de la maison !), on descend des escalators. On embarque directement, sans attente, dans le premier wagon (on a pas tellement eu le choix, le reste était plein). Il y a des avantages (on voit la speakerine) et des désavantages (on est pas les mieux placés pour les scènes d’effets spéciaux). Notre speakerine arrive, nous signale que l’on est dans le deuxième tram de la journée, et, après avoir attendu une bonne dizaine de minutes en regardant des extraits de films Universal, on part.
On passe d’abord par la Timeline Drive, une rue bordé d’affiche des meilleurs films Universal de chaque année. La rue permet en fait de descendre de la partie haute à la partie basse du parc.
Ensuite, on passe devant la caserne de pompiers des studios :
Pin-pon, les pompiers, les studios qui brûlent... (à chanter sur un air connu)
Ensuite vient le passage à travers les vrais studios, tous encore en activité. Bon, vous ne voyez rien, si ce n’est les ‘’déménageurs’’ qui déchargent le matériel des camions, et les employés qui se grillent une clope à l’extérieur ! Passionnant hein ?
Puis on passe devant le Underwater Tank, énorme réservoir d’eau avec quelques vitres. Il sert en fait à pouvoir filmer des scènes sous l’eau, sans avoir de caméras étanches, puisqu’on peut filmer depuis l’extérieur. Malin !
Pour terminer cette série ‘’backstage’’, passage par le Transportation Department, où sont exposés certaines célèbres voitures Universal, genre la Delorean de Back to the Future.
Ensuite, entrée dans la première ‘’attractions dans l’attraction’’ : Fast and the Furious. C’est très simple : vous entrez dans le studio en plein air, par une porte coulissante. Vous vous retrouvez dans un joli décor d’un espèce d’entrepôt abandonné et tagué. Là au milieu, deux voitures. Vous entendez la voix du producteur du film, qui demande le test de la vapeur d’eau, de la fumée et du feu, qui se font en direct devant vous. Le producteur vous dit que ‘’all system checked’’ et... ‘’action !’’. Et là, la vapeur d’eau simule (avec le son), des impacts de balles dans le sol, puis de la fumée arrive, et les flammes simulent une explosion, envoyant les voiture vers vous ! C’est là que vous remarquez que les voitures sont en fait montées sur des robots, comme dans les chaînes de montage ! On vous explique ensuite que les bras robotisés seront effacés numériquement avant que le film passe au cinéma (logique !), et on vous dit qu’à Universal on aime bien s’amuser... Du coup, les voitures commencent à danser ! Vraiment bien foutu, très bonne ‘’attraction’’ (désolé, pas de photos, j’étais pas du bon côté...) !
Après ça, on enchaîne par un passage dans un endroit où sont réunis pleins d’objets des films Jurassic Park. attendez-vous à une petite surprise... Bien présenté.
On enchaîne sur le Flash Food. On s’arrête devant une reproduction de village mexicain, avec une route en terre passant devant les maisons. Au centre de la rue, une petite charrette. De l’eau arrive de la route, sort des fenêtres des maisons, et fais glisser la charrette et tomber un panneau, manquant de nous écraser. Bien entendu, ça mouille ! C’est de nouveau très bien fait, mais on remarque que ça a un peu vieilli (depuis 1968...).
Petite pause avec les ‘’sensations’’, pour passer par un studio en plein air à décor tendance mexicaine. En images :
Après cette traversée de décors, on traverse... un lac ! C’était anciennement sensé représenté la scène de la traversée de la Mer Rouge, mais ils ont entre-temps enlevé Moïse du bord du lac. Du coup, on fait juste ‘’abracadabra’’ et le lac s’écarte, laissant un passage de la largeur du tram au centre du lac. Super drôle comme effet, un tout petit peu ringard quand même !
Après une autre traversée de décors représentant l’Europe et l’Inde (c’est là qu’on tourne les scènes de Heroes qui se passent dans le village indien de Madras, où habitaient les Suresh) dont j’ai mélangé les photos avec celles des décors westerns-mexicains (je suis un comique...), on entre dans le Studio 50.
Dans ce studio, on trouve la plus grosse ‘’attraction dans l’attraction’’ : Earthquake. Le concept : vous faire entrer dans une station de métro, et simuler un tremblement de terre de 8.3 sur l’échelle de Richter ! Donc bon, vous entrez dans le studio par portes-coulissantes, comme d’habitude. Première surprise : le décor reproduit est magnifique, avec pleins de détails, et une multitude d’accessoires laissés par l’équipe de tournage du film (caméras, projecteurs, câbles, ...). Le tram a à peine le temps de s’arrêter que c’est partit : ça tremble, les lampes clignotent, le plafond s’écroule, etc... Après, ben ça explose un peu, le sol se fend, y a tout qui brûle, et, sur l’autre voie, surgit à toute vitesse le métro qui manque d’écraser tout le tram ! Pour terminer, on a droit à une petite inondation. Ensuite, pendant que tout se remet en place, on sort du studio. Mon avis : c’est vraiment exceptionnel ! Pendant la catastrophe, tout est parfaitement synchronisé, il y a aussi pleins de petits détails, enfin, c’est vraiment parfait ! De plus, suivant les places, on voit des choses différentes : par-exemple, en regardant une vidéo prise depuis le dernier rang, je me suis aperçu qu’ils ne voyaient presque pas le métro qui nous fonçait dessus, mais qu’ils voyaient un camion de gaz leur tomber dessus suite à l’écroulement du plafond. Parfait, parfait et... parfait !
Après ce tremblement de terre, on se dirige vers... JAWS (les Dents de la Mer en VF). On entre donc dans un nouveau studio en plein air (comme Fast & Furious), au décor reproduisant un port, avec une plage. Le premier truc qu’on voit en entrant : le club des pêcheurs, au bord de l’eau, où est suspendu à une potence un requin ‘’sanguinolent’’. Quand le tram s’arrête, on est juste à côté de la plage, avec, juste derrière, le lac, et encore plus derrière, les maisons du port. Sur le lac, un bateau de la police, mais il n’y a personne dedans. Et là, en observant l’eau, on remarque des bu-bulles au centre. Et qui c’est qui sort sa tête sous les bulles ? Un plongeur ! Et qu’est-ce qu’on voit qui s’approche au loin ? Un aileron de requin ! Argh ! Le requin plonge sous l’eau. Et, 1 seconde plus tard, on voit le plongeur s’enfoncer dans l’eau, qui devient pleine de remous... Et là, c’est inévitable. L’eau se teinte de rouge ! Le tram repart, et on laisse derrière nous une pauvre victime... snif ! Le tram passe alors devant un ponton de bois, qui sert à amarrer les bateaux pour les remplir d’essence, grâce à la pompe placée juste à côté. Au moment où on passe devant, le ponton bouge dangereusement... Sans qu’on sache trop pourquoi, la pompe à essence se met en marche, tournoyant sur elle-même et mettant du carburant partout ! Re-argh ! Et là, horreur : une étincelle ! Au moment où tout le ponton commence à cramer et où on ne s’y attend pas, le requin surgit juste à côté du tram, vous montrant se dentition, en vous éclaboussant au passage. Et voilà ! Bon, et mon avis ? Les décors sont vraiment très jolis, et la deuxième partie des effets est vraiment bien réussie. La partie où le plongeur se fait bouffer, ben c’est rigolo, mais c’est un peu vieux ! En photos :
Glou-glou ?
On vous lance une bouée pour... votre jambe ?
Et là on se dirige vers... euh, pourquoi on est arrêté ? D’après notre guide, ils tournaient un film tout près, alors, on devait attendre avant de continuer la visite. Du coup, on est resté en ‘’stationnaire’’ 5 bonnes minutes. On repart, et on passe devant une rue partant sur la gauche où étaient parqués bons nombres de vans et quelques grosses américaines (pas des femmes hein !).
Après cette ‘’aventure hollywoodienne’’ (j'exagère un peu hein ?), on se dirige vers Colonial Street. Ca ne vous dit rien ? Wisteria Line c’est plus parlant ? Ah ben voilà, c’est là ! A noter que, lors de notre passage, ils étaient en train de préparer la rue. Les jardiniers taillaient les haies et le gazon, les techniciens fixaient les projecteurs, etc... Quelques photos comme ça :
Après cette traversée de Wisteria Line, on va visiter un autre set, comme Jurassic Park. Ca me fait penser que je ne vous ai pas expliqué ce qu’était un set ! C’est tout simplement un regroupement d’objets ayant servi à tourner un film. Mais le film n’a pas du tout été tourné à l’endroit où le set est actuellement installé. Ici, c’est le set de Whoville, la ville où habite le Grinch ! Pour votre information, le décor de Whoville était installé à la place du studio extérieur de la Guerre des Mondes pendant le tournage du film du Grinch. Une petite photo :
On se dirige ensuite vers un décor d’horreur... En effet, qu’est-ce qu’on voit sur la colline devant nous ? La maison de Psychose, film de Hitchcock ! Et juste en face de nous, on découvre le sympathique motel du film, avec tous les détails : la voiture transportant un cadavre (enfin, on voit la voiture, mais pas le cadavre !), la glacière, etc...
La ‘’Psycho House’’, à deux pas de Wisteria Lane...
Le fameux motel, la voiture au cadavre, et, juste derrière, la Psycho-House.
Après Psychose, le réconfort ? Eh bien non ! On arrive dans un énorme studio extérieur. Dans le passé, il a été utilisé pour construite ‘’Whoville’’, la ville dans le film du ‘’Grinch’’, puis pour construire des décors du film ‘’Jurassic Park 3’’. Depuis février 2005, cet endroit accueille les décors du film ‘’War of the Worlds’’ (La Guerre des mondes’’). L’espace est occupé par un 747 complètement déchiqueté, des maisons en miettes, et des décombres en tous genres. Il y a juste une bande d’une largeur de 5 mètres environ, qui a été dégagée et goudronnée : la route du tram.
Oulà, c’est un petit peu le bordel par ici ! On dirait une machine à laver au premier plan, mais sinon, on reconnaît pas grand-chose !
Une... maison...
Une autre maison, un peu mieux conservée : il reste le premier étage !
Quoique, elle est pas si bien conservée : elle a un bout de 747 sur la droite ! Et avec le reste de réacteur devant, je resterais pas dans le coin. Partons plutôt à la recherche du reste de l’avion...
Trouvé ! Y’a même une voiture devant en bonus !
Malheureusement, on ressort déjà de cet énorme plateau... Vraiment, c’est juste super, et vraiment impressionnant !
Bon, et où se dirige-t-on maintenant ? Vers un lac à trucages !
Comme ça, ça n’a pas l’air du tout, mais on peut utiliser ce lac pour tout ce qu’on veut ! Si on met des nuages sur le mur bleu derrière, ça nous donne une mer, si on met un bateau, on est dans un port, etc... Mieux encore, on peut construire tout un décor autour, pour faire une petite grotte par-exemple. Mieux encore bis : on peut y rajouter des chutes, des vagues, etc... Même Disney est venu tourner un film là (suivez le lien dans la colonne de droite).
Bon, malheureusement, le tour se termine... après la prochaine scène. Malheureusement, c’est une des plus mauvaises ! Le thème : les films de la Momie. Vous entrez donc dans un tunnel (l’entrée est décorée de sculptures donnant l’illusion d’être en sable, de statues et de hiéroglyphes). Pour le tunnel, on croirait qu’il est creusé dans la roche, et il fait très noir. Et là, le tunnel commence à tourner sur lui-même, comme dans les trains fantômes de foire (sauf que c’est quand même un peu mieux réussi !). Après, vous avez droit à des voix de la Momie, puis on fini par une petite surprise scarabéienne.
Deux petites photos bonus :
Les restes de la zone des décors de rues New-Yorkaise (comprenant notamment le fameux hôtel de ville de ‘’Back to The future’’, détruit par un incendie quelques semaines avant notre visite (on voit presque rien sur la photo, mais ils sont en cours de ‘’déblayage’’).
Le ‘’pont qui s’écroule’’, un des premiers effets spéciaux du Studio Tour, actuellement en cours de réhabilitation.
Voilà, le Studio Tour se termine après 45 minutes de visite. Rien à dire, vraiment, c’est exceptionnel, et ça fait passer le Tram Tour de chez Disneyland Paris pour une visite de musée des antiquités ! Un vrai ‘’must’’ à ne pas rater !
A la sortie du Studio Tour, on se dirige vers les escalators géants du parc, pour aller voir le Lower Lot du parc. Au passage, on découvre un peu la zone de la nouveauté 2008 : The Simpsons Ride. Et donc, les escalators : jamais vu ça ! 4 énoooooooormes escalators à la suite, avec, entre, des ‘’plates-formes’’ pour observer le paysage un moment. Une petite on-ride pour le fun :
Et nous y voici, nous y voilà : le Lower Lot ! Pfiou, ça nous a donné faim ces escalators (géants, si vous aviez oublié) ! Des bretzels ? Eh ben, amène les bretzels ! Verdict : imbouffables ! Normalement, j’adore le sel sur ces cochonneries, mais là... y avait tellement de sel qu’on voyait plus le bretzel. De bretzel, il était passé à bretsel !
Du coup, pour se changer le goût, prenons quelques photos de la zone Jurassic Park, et de son excellente B.O. (bon, j’avoue, au bout d’un moment, elle saoule un peu !).
Zoom sur une chute (complètement inutile comme photo d’ailleurs !)
Et, si on dézoome, on voit le bateau qui arrive à toute berzingue de... la chute (mais l’autre chute !). Tout ça, ça me fait penser que j’ai oublié de prendre en photo la chute (oui, l’autre !).
Par-contre, je me suis fait un nouvel ami ! Il pue un petit peu de la gueu-gueule, mais il est bien sympa.
Allez Bruce, fait le beau !
Bon, on arrête de faire mu-muse avec Bruce, et on entre dans la file d'attente.
Alors, passons sous cet arc ‘’enflammé’’, et entrons dans la file d’attente. La file d’attente est un large chemin, qui se promène au milieu de palmiers et de végétation tropicale. De temps en temps, il y a un ‘’parc à serpentins’’ sur le côté. Bizarre, il y a personne ! On avance, et nous voilà déjà en station. Bilan : 2 minutes de marche et 3 d’attente ! La file d’attente dans la gare : 4 rangées + 1 de single rider sous un toit en tôles, avec 3 télés. Moyen, mais bon, c’est la gare ! Ensuite, un employé répartit les 5 colonnes dans 2 bateaux de 4 rangées, et, en ni une ni deux, on se retrouve assis dans notre énorme bateau jaune !
On a juste le temps de regarder l’espèce de théma (la ‘’régie’’ de l’attraction, décoré dans un style militaire assez réussi), et on part (sous les applaudissements des employés, une tradition aux Etats-Unis !) !
Première étape : vous montez sur un petit lift. Un panneau d’avertissement vous signale de faire très attention aux clôtures électrifiées et aux animaux, mais vous rassure en vous disant que des caméras de surveillance sont activées et vous protègent de tout problèmes...
Vous arrivez en haut du lift, faîtes un petit demi-tour sous une dense végétation, et là, l’énorme porte qu’on voit dans les films s’ouvre devant vous, vous libérant le passage ! Bien entendu, en même temps, vous entendez la splendide musique et une voix off dont le seul truc que j’ai compris était : ‘’Welcome, to Jurassic Park !’’. Ca c’est de l’ouverture !
Vous commencez en croisant un sympathique diplodocus, qui vous crache dessus, bien entendu !
Voilà déjà le deuxième !
Après ces deux charmantes rencontre, vous en croisez un troisième. Aucune idée de son nom (c’était un dinosaure sur deux pattes qui buvait dans le canal si vous êtes un spécialiste !).
On entre ensuite dans une grotte... humide ! Déjà, elle est remplie de buée d’eau, mais en plus, il y a des énormes gouttes qui tombe du plafond, et ça sauce !
On ressort de la grotte pour découvrir un autre sympathique ami :
Si quelqu’un sait son nom... ?
On tourne, et problème : un geyser rentre en ‘’éruption’’ à côté de nous, et on se prend tout en pleine tête, évidemment !
Après, on croise une queue d’un gros dinosaure qui a manqué de peu de fracasser le bateau !
Ensuite, c’est deux petits dinosaures (qui n’ont pas l’air sympa !) qui se battent pour un carton de pop-corn que nous croisons.
Devant nous, on voit apparaître une grotte, où l’on va entrer. Seul gros problème : un gigantesque dinosaure surgit de l’eau juste à côté de nous, nous crache 10 litres d’eau dans le bateau, et nous dévie de notre chemin (plaisanterie mis à part, vraiment impressionnant celui-là !).
Du coup, on ne peut pas entrer dans la grotte et on tourne à gauche vers... la centrale électrique alimentant les clôtures de tout le parc !
Bon, normalement ça devrait pas trop poser de problèmes. Sauf que... on entend un drôle de bruit. En s’approchant, on voit que c’est une clôture électrique cassée qui fait ce ‘’bgzz bgzz’’ (j’imite bien l’électricité !).
Ben oui, regardez ce que montre le doigt du monsieur : il manque un bout à la clôture !
Et si y manque un bout ça veut dire que... les dinosaures des autres enclos peuvent entrer ici ! Arg ! Et quels sont les enclos communiquant avec celui-ci ?
Ceux-là apparemment (désolé, on voit pas tellement les spécimens...) !
Donc, d’après ce que je vois, ils ont détruit un bateau comme dans celui dans le quel on est, ils ont tué les visiteurs et sont en train de bouffer les sacs en plastiques. Ah, et on dirait qu’ils aiment pas trop les Disneyfans, comme en témoignent ces magnifiques oreilles (ça va, personne à d’oreilles ni de T-shirts Mickey dans notre embarcation !).
Bon, on arrive à leur échapper, et on découvre la centrale électrique, qui est aussi la station de filtrage de l’eau des enclos : le décor est juste énorme !
Pas trop le temps de l’admirer cependant : sur notre droite, en haut d’un mur , une voiture est très instable. Pas de chances, elle se casse la gueule ! Elle atterrit juste à côté de nous, nous aspergeant au passage (et oui !). En plus, vu qu’elle a atterrit sur les roues avant, le klaxon reste enfoncé, c’est malin !
Nous on continue d’avancer, et on arrive dans un endroit où, apparemment, ils entreposent les bonbonnes de gaz. Deux dinosaures à crinières (je sais pas non plus leur nom...) poussent des énormes cris quand on leur passe à côté !
Bon, du coup, on a pas trop le choix, on entre dans le tunnel, où ça monte... Une voix gueule dans les haut-parleurs du tunnel, mais on comprend rien du tout ! On voit juste des tuyaux, des gyrophares et des lumières qui clignotent un peu partout... Et là, coup de stroboscope, et, juste à côté, un petit T-Rex (celui-là, je connais le nom !), essaie de vous agresser !
On monte toujours, et un deuxième apparaît en dessus de nous, il a fait s’écrouler la moitié du plafond le malin !
Et là, on arrive en haut, il y a des gyrophares rouges partout, y a des alarmes qui sortent de tous les haut-parleurs, etc...
Et là, un décompte d’évacuations de secours commence mais... une dernière surprise vous attend, juste au-dessus de votre tête ! Et dans le genre surprise, c’est la plus belle surprise que j’ai vu ! Splendide, magnifique, et j’en passe, et des meilleures ! Malheureusement, on a pas trop le temps de l’admirer : on plonge !
La descente qui suit est vraiment sympa, et le splash en bas... eh ben, ça mouille ! Dans le genre trempé, j’avais jamais fait mieux (ah si, la Atlantica Dusche, mais ça compte pas !).
Et vous voilà de retour au quai ! Chose bizarre : une employée vous distribue un papier avec écrit dessus (à la main !), le numéro de votre photo. Très rustique comme idée ! Passage par la boutique souvenirs obligatoire, et c’est fini.
Mon avis : Exceptionnel, vraiment ! Autant bien les dinosaures super bien foutus, les effets d’eau qui vous trempent de bas en haut avant même la descente (je les ai pas tous détaillés, il y en a une dizaine d’autres bien cachés), enfin... tout ! Peut-être pour chercher la petite bête parmi les grosses bêtes (mouarf !) : la voiture tombe peut être un poil trop lentement par-rapport à la réalité. Mais bon, là, je cherche vraiment hein !
Ah, après Bruce je me suis fait un autre copain : Anubis !
En plus, il a un jumeau !
Plutôt que de prendre des photos, allons-y !
Ah ben tiens, il faut d’abord mettre son sac à dos dans des casiers. Et euh,,, comment ça marche ? Ah ben tout simplement en fait, par empreintes digitales ! On met son doigt sur l’écran et ça ouvre le casier le plus proche automatiquement. Pour ressortir, on remet le doigt sur un écran, et si ça marche (et c’est le cas !), c’est le bon casier qui s’ouvre. Parfait !
Alors, la file extérieure... vide ! Il y a 50 serpentins, mais ils sont tous vides ! Bon, ben on veut pas râler, hein, entrons dans le bâtiment, par une jolie arche décorée égyptienne.
Dedans, il fait une température à se les geler ! On tourne dans deux couloirs (où ils ont oublié d’allumer la lumière), et on arrive dans une salle qui fait équivalent de pré-show. C’est en fait une’’ présentation’’ des divers Dieux égyptiens projetés sur un écran-miroir rond. Sympa, avec des voix très peu rassurantes !
Bon, on arrive au quai, très joli, vraiment bien sympa ! Et là, ben on embarque. Bilan : 0 minutes d’attente (il est désert ce parc ou quoi ?) ! Les sièges sont bien confortables, on a juste pas le droit de garder ses lunettes, on doit les mettre dans un sac devant vous (ça tombe bien : j’ai pas de lunettes !). Contrôles des lap-bar, et c’est parti !
Première salle, juste devant : en fait, c’est pas vraiment une salle, c’est juste la transition. Il fait assez sombre, on distingue seulement un AA d’un type (un du film je suppose, mais je connais pas le film). D’après ce que j’ai compris, je crois qu’il dit ‘’Sauvez vos vies, la malédiction existe, Imothep est en vie !’’ (je garantis pas que ce soit ça !). Bon, c’est bien gentil monsieur, mais plutôt que de gueuler comme ça, laissez-nous passer ! Après, je sais pas trop ce qu’il a, mais il a l’air moins vivant d’un coup...
On avance un peu, mais il y a une gentille momie qui nous gueule dessus, du coup on accélère un peu !
Après, il fait tout nuit, il nous pleut juste dessus (décidément, on a même pas le temps de sécher !). Et là, il y a des momies qui arrivent de tous les côtés et qui essaient de nous bouffer, du coup, nouveau coup d’accélérateur !
Nous voilà déjà dans la salle du trésor. Magnifique, ça brille de tous les côtés, on repère quelques objets en or, les hiéroglyphes, etc... Sauf que d’un coup, entre deux statues, il y a le visage d’Imothep qui apparaît sur un écran, sortant du sable : argh ! Il dit un truc qui ressemble à ‘’amh kum am Ra’’ puis un truc qui ressemble à ‘’j’ai vos âmes’’ (c’est pas facile à comprendre les voix truquées !). Là, il y a deux momies qui essaient d’attaquer votre voiture, et vous sentez un fort vent vous arrivant dedans en pleine face (pas compris pourquoi, ni comment !). Et là, propulsion ! Vraiment bien sympa comme accélération !
Après, c’est la partie coaster. Du côté décor c’est assez pourri : il fait tout noir, et on passe 4 ou 5 fois sous des dessins de squelettes éclairés en lumière noire. Le coaster en lui-même a un ou deux bons air-times, une ou deux bonnes spirales, en résumé : c’est très très fun !
30 secondes plus tard, on freine déjà... encore heureux, 50 centimètres de plus et on finissait encastré dans le mur ! Et là, on se demande ce qu’il se passe. Rien n’est décoré devant nous, on a juste un mur de briques, et rien ne se passe. Quoi que... des scarabées commence à sortir d’entre les briques (vraiment bien foutu) re-argh ! En plus, deux surprises : il vous repleut dessus, et une autre surprise, sous vos pieds...
Re-propulsion, mais en arrière ! Niveau décors, pareil (normal, c’est dans la même partie du bâtiment qu’avant).
Bon, la partie en arrière est vraiment super courte, on freine déjà. Apparemment, on est sur une plaque tournante puisqu’on... tourne !
Pas le temps de respirer, puisqu’il y a de la fumée partout. Et là je m’excuse, mais j’ai plus rien compris ! Il y avait de la fumée, la voix à Imothep, des stroboscopes et puis ben... je sais plus ! Vraiment, désolé.
Après, on arrive (déjà !) sur le quai de déchargement, sous les applaudissements des employés (quand je vous disais que c’était une tradition !). N’ayez surtout pas le malheur de crier ‘’yihaa’’ comme moi, parce qu’après, les opérateurs n’arrêtent plus de gueuler !
Alors, en résumé : super, mais super court ! La partie dark-ride est vraiment jolie, la partie coaster est très fun, les effets spéciaux parfaits, mais c’est vraiment super-court ! Un peu dommage mais bon, c’est vrai que le parc est un peu cerné... par ses studios, et niveau extensions, ça doit pas être du gâteau !
Après la Momie, allons donc tester Backdraft ! Oulà, niveau file d’attente, c’est du moche de chez moche ! 100 mètres aller le long d’un mur en briques, 100 mètres retour, virage, et 100 mètres avant l’entrée. Super hein ?
Bon, on s’en fout, on est pas là pour faire de la file d’attente : 5 minutes, pas une de plus !
On entre dans le premier pré-show : une scène devant vous avec quelques projecteurs et les classiques chaises d’acteurs. En-dessus, un écran géant. On vous projette un film chiant, où le réalisateur du film vous explique ce qu’est un backdraft, rend hommage à son équipe de tournage, vous explique comment c’est passé le tournage, et vous rappelle que les pompiers sont des héros et qu’il faut les laisser passer sur la route !
On passe au deuxième pré-show. Toujours un écran géant, mais cette-fois ci c’est deux acteurs du film qui vous parlent du tournage et des pompiers. Seul moment intéressant : la fin. On vous dit que le feu est très jolie, et une flamme apparaît devant vous. Puis, on vous dit que c’est dangereux, et la flamme explose. Après ça, une alarme se déclenche, et les portes s’ouvrent.
Nous voilà enfin dans le main-show ! Le public est réparti sur deux plates-formes une en-dessus de l’autre et fait face au décor, qui reproduit un entrepôt industriel. Il y a l’air d’avoir un problème derrière la porte du bureau... En effet, elle s’ouvre très brusquement, et une boule de feu en sort !
Problème : l’explosion a mis le feu à l’étage du dessus. On sait pas trop ce qui brûle, mais il y a une pluie d’étincelles qui tombent...
... droit dans un baril inflammable ! En fait, Universal, c’est comme la loi de la confiture sur la tartine : une explosion est obligée de mettre feu à autre chose...
Pour suivre cette loi, le baril qui explose met le feu à tout l’étage du bas. Donc, en résumé, il y a tout le plancher qui brûle, les barils qui explosent un à un toujours plus fort, enfin, c’est le gros bordel ! Pour ajouter à cela, les conduites de carburant commencent elles aussi à brûler.
Pour associer l’image à la parole, voici la conduite en feu.
Mais voilà la plus grosse explosion de toutes ! Tellement grosse qu’il y a la moitié du plafond qui s’écroule juste devant nous (et nous on s’écroule aussi, mais surprise...).
Le plafond entrain de démerder...
Pour terminer en beauté, c’est l’énorme réservoir qui s’enflamme, provoquant une sacrée boule de feu ! Et... coupé ! C’est terminé, et on ressort donc du bâtiment, retrouver la fraîcheur (37 °) extérieure...
Mon avis : autant les pré-shows sont bien chiants comme il faut, autant le vrai show est assez sympa. Court (bon ça se comprend), mais bien impressionnant ! Comparé à Templo del Fuego ? Pfiou, ça fait longtemps que j’ai fait l’espagnol, alors que j’étais qu’un môme (et oui), mais, d'après mes souvenirs, je les classe à égalité, avec peut-être une préférence pour l’espagnol...
Bon, il nous reste quoi à faire avant de remonter pour aller faire le haut du parc ? Special Effect Stages ? Il paraît que c’est tout en anglais et qu’il y a pas grand chose qui bouge, donc oublions. The Universal Experience ? Bof, pas tellement envie de visiter un musée, même sur le cinéma. Revenge of the Mummy ? Ah là, je dis pas non !
En chemin, on rencontre un ami à Trips’n’Pics !
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Alors, la Momie pour la deuxième fois, ça donne quoi ? Eh bien, il y a une chié d’attente : 12 minutes (ça donne envie hein ?) ! A signaler qu’ils étaient passé au mode d’opération à deux trains (deux trains remplis à la fois au quai, ce qui double donc le débit) ce qui est bien marrant dans la partie coaster, quand on croise d'autre wagons ! A noter qu’on l’a fait cette fois-ci au premier rang. De là, on croirait vraiment qu’on se prend le mur dans la gueule après la première partie coaster ! Mais, désavantage : on voit les rails devant soi...
Allez, en route vers les escalators, pour remonter vers l’Upper Lot.
Ah ben voilà le monde qui arrive : tant mieux, nous on repart !
Une fois en haut des escalators, on voit quoi sur la gauche ? Ca :
On va aller faire un tour dans le coin non ?
Les brumisateurs sont au max dans la zone ! Allez, entrons dans la bouche de l’autre fou du doux nom de Krusty...
Bon, par-contre, il y a un peu plus d’attentes ici. Heureusement qu’il y a des télés qui diffusent des extraits des Simpsons, plus idiots les uns que les autres (très drôle d’entendre Bart parler en VO d’ailleurs, on a pas l’habitude !).
Je vous l'accorde, niveau déco, c’est un peu kitsch !
A signaler aussi, l’excellente carte du parc de Krustyland (et ses affiches), plus caricaturale de Disney que jamais ! Après 20 minutes d’épisodes de Simpsons, on entre dans une salle où on nous répartit en je-ne-sais-plus-combien-de-colonnes. Côté animation, c’est super bien foutu ! De chaque côté, vous avez des stands de fêtes foraines, avec derrière chacun, un écran de télé montrant le personnage qui tient le stand. Tous les stands s’animent les uns après les autres : le stand de pop-corn, la roue de la fortune, les boîtes, etc...
Après ça, chaque colonne (composée de 8 personnes si les opérateurs ont bien fait leur travail !) est amenée dans une petite pièce. Là, sur une télé (pour changer, mais c’est tellement drôle !), on vous présente un film sur la sécurité... à l’humour Simpsons ! Dans cette pièce, vous avez également un miroir déformant pour passer le temps. Et sinon, comme nous, faîtes du social, et parlez anglais avec la famille d’espagnols qui nous accompagnaient !
Après ça, enfin, après une demi-heure d’attente (on est des pauvres hein ?), les portes s’ouvrent ! On se retrouve dans une autre petite salle, avec notre véhicule au milieu. On embarque, et on s’attend à avancer, vu que le décor de devant est une sorte de porte d’entrée de dark-ride. Mais non ! A la place de ça, on monte d’une dizaine de mètres, et on se retrouve devant l’énorme écran sphérique, avec tous les autres simulateurs à côté.
Le film est super bien foutu, très bonne qualité. Ceux qui connaissent un peu Disney remarqueront le foutage de gueule incessant (j’en reviens toujours pas de leur version de It’s a Small World, si seulement c’était comme ça en vrai !) ! Les mouvement sont très bien aussi, ça secoue juste ce qu’il faut, et ça fout pas la gerbe.
Bilan : encore une magnifique attraction, rien à redire, tout est parfait (ah non, il y a une ampoule qui marchait plus dans le pré-show, inadmissible !).
Argh, mais c’est l’heure du premier show de Water World de la journée ! Courrons-y (bien sûr, c’est à l’autre bout du parc...) ! Bien entendu, c’est l’heure du show des Blues Brothers, qui se passe au milieu de la rue... Excuse-me, sorry, a plus Bibi ! Bon, on arrive à Water World... où les portes ne sont pas encore ouvertes. Mais Universal est un parc de grande qualité, du coup, au lieu de faire attendre ses visiteurs en file à bestiaux et en plein soleil, la file d’attente se passe à l’ombre, avec des brumisateurs tous les 3 mètres. C’est pas un vrai parc ça ?
On entre, et on s’installe sur les gradins, à l’ombre (oui, vous trouvez ça évident, mais attendez le TR de cette grosse ***** de parc qu’est Sea World !).
Pour nous faire patienter, il y a quelques sympathiques chauffeurs de salles. Vraiment, j’en ai jamais vu de si drôles ! Entre ceux qui se prennent 5 fois de suite un seau d’eau sur la tête, le jeu du ‘’criez plus fort’’ sinon je vous mouille ou la ‘’rivalité’’ entre les 3 parties des gradins (et les 3 animateurs), ils ont ma mention spéciale !
Pour le show, j’ai déjà beaucoup écrit, donc je vous mets juste des photos avec quelques commentaires :
Water World c’est d’abord un magnifique décor !
Des tourelles, des tyroliennes et des plate-formes...
En plus, c’est pas tellement petit !
Après, vous avez un petit nombre de bateaux (ici celui de la ‘’gentille’’).
Celui-là, il est tout de suite moins gentil (et en plus, le type de devant
est seulement bon à faire l’idiot, il sait même pas viser...
Regarde où tu vises !
Un dernier tour et puis s’en va...
Si les bateaux vous aimez pas trop, il reste les autres méchants sur leur aéroglisseur !
Sous un autre angle si vous voulez...
Sinon, il y a un avion qui débarque je-ne-sais pas trop pourquoi, mais en tout cas c’est super impressionnant (il n’y a pas de fils, de cordes ou de freins, non non, il vole réellement !)
L’avantage d’avoir deux appareils photos : on peut avoir deux points de vue de la même action, qui s’est passée exactement au même moment. Le désavantage d’avoir deux appareils photos : les deux photographes se disputent toujours pour savoir qui a pris la meilleure photo !
Sinon, après vous avez droit à toutes sortes de cascades ! Là il y a un jet-ski qui va passer dans le feu (mais aucun des deux photographe ne l’a eu !).
De temps en temps, il y a un type en feu qui se casse la gueule (bon, c’est vrai, ils l’ont un peu poussé !), que vous entre-apercevez sur la photo.
Là on voit pas trop, mais ils sont en train de se tirer quelques balles !
De temps en temps, il y a aussi des effets aquatiques !
Ou de la tyrolienne alors !
Mais ce qu’il y a par-dessus tout à Water World, c’est des explosions !
Là c’est une petite explosion comparé à la suite hein !
Là par-contre, ça commence à fumer un peu !
On se fait canarder dessus aussi !
Han, pas tirer sur le réservoir à fuel !
Naaaaaaaaaaaaaaaaan !!!!!
Eh ben si !
Cliquez sur le lien dans la colonne de droite pour une photo en haute résolution, ça rend plutôt joli !
Et franchement, à l’image du méchant ‘’gros dadet’’, du leader des méchants et de la jolie gentille, il faut bien dire que le casting est exceptionnel de A à Z !
La fin du spectacle, et la présentation du casting.
Le salut final.
Donc, mon avis final : eh bien, je crois que vous l’aurez compris, c’est du 500/100 ! Certainement la meilleure attraction du parc (qui est en fait un show, mais bon), devant la Momie et les Dinosaures pour moi ! J’ai croché de A à Z, même que je n’ai rien compris à l’histoire (et oui...) ! Vraiment, bravo aux cascadeurs, aux techniciens, tout est parfait (j’en fait des couches hein ?) !
Alors, qu’est-ce qu’il nous reste à faire dans la parc ? Fear Factor Live ? La famille n’a pas tellement l’air motivé, dommage mais bon, on loupe pas grand-chose je suppose. Universal House of Horrors ? Là, personne n’est tenté, donc ça règle le problème ! Universal’s Animal Actor ? Oui, pourquoi pas ! Shrek 4D ? Oh oui ! Terminator 2 : 3D ? Oh ouiiiiiiiiiiiiiiii !
Pour y accéder, on traverse donc une partie qu’on avait encore pas visitée du parc : les divers décors venant d’on-ne sait trop où ! Qu’importe, ça fait très ambiance studio, et c’est très bien fait !
Une librairie, dont le panneau devant indique dans quel film on la retrouve. Bien sûr, j’ai lamentablement oublié le nom !
Voulez-vous faire un tattoo avec moi... maintenant (à chanter sur un air connu)
Les gens sont en train d’entrer à Terminator 2 : 3 D, donc on se dépêche un peu... à tel point que j’ai oublié de prendre en photo le bâtiment de l’attraction...
Donc, pas de file extérieure, nous voilà directement dans le pré-show ! Alors, le pré-show : c’est en fait juste des machines qui commencent ! Vous connaissez sûrement les espèces de panneaux-afficheurs-électroniques, souvent utilisés dans les bars pour diffuser les scores. Et bien là, ce sont eux qui vous font l’animation, en racontant (enfin, en écrivant) plein de conneries. Le chaud commence à devenir intenable dans la salle : elle est pleine à craquer... C’est là qu’arrive l’actrice, qui vous raconte encore pleins de choses pendant je ne sais combien de temps. Fait chaaaaaaaauuuuuuuuud ! Et voilà qu’on vous montre un film pendant 10 autres bonnes minutes. Fait toujours chaaaaaaaaaaaaaaauuuuuuuuuuud, où est la clim’ ? Enfin, les portes s’ouvrent, et tous les visiteurs se dirigent dans la salle principale (enfin, ceux qui ont pas lâchés leurs lunettes pendant le pré-show et sont à 4 pattes pour les retrouver...).
Le cinéma : il est énorme ! Et en plus, il fait 10° ici dedans. tellement froid que je me suis chopé un bon mal de tête en sortant (sûrement dû au chaud-froid, mais bon...). Le show commence... sur le côté ! Des trappes s’ouvrent, de la fumée en sort, puis des énormes robots animatroniques (3 mètres - 3 mètres 50 de haut dirais-je) en sortent ! Des cibles sortent du plafond, et les robots commencent à les mitrailler. Ca fait un bruit d’enfer, ça fume de partout, mais qu’est-ce que c’est super bien foutu ! Après ça, il y a des bêtes qui sortent du plafond, des acteurs y tirent dessus, en résumé : ça pète ! Je ne vais pas vous racontez le reste, mais sachez que c’est que du bonheur ! Des effets spéciaux à tout va, une 3 D superbe, l'interaction entre les 3 écrans et les acteurs est superbe (le coup de la moto, waw !), la sono, etc... Vraiment, c’est du grand art, une attraction comme on aimerait en voir plus souvent, ça c’est sûr ! Seul point négatif : le chaud-froid et le vent dans la gueule à répétition. Je suis sorti de là, j’ai dû m’asseoir un moment (sous un brumisateur, héhé) et boire une bouteille d’eau. Sinon, 0 points noirs en vue !
Bon, en sortant, on abandonne le show des animaux, et on se dirige directement vers Shrek 4D. Une dizaine de minutes d’attente à l’ombre sous des brumisateurs (à regarder le joli costume des employés !), et on entre dans le bâtiment-château de l’attraction. De nouveau, un pré-show. Le pré-show en lui-même est déjà magnifique ! On est donc dans le château du méchant de Shrek (moi et les noms, vous me connaissez...). Il y a 4 boîtes suspendus devant nous. Dans 3, il y a les (3 !) petits cochons ! Leurs yeux sont en fait un écran. On les voit cligner des yeux, et, quand ils parlent, leur boîtes remues. Très bien fait ! Pinocchio est lui aussi enfermée dans une boîte, mais on voit juste ses jambes, ses mains et son nez dépasser ! Sinon, il y a aussi deux miroirs (un de chaque côtés de la salle, ce sont en fait des écrans géants), qui nous montrent le masque du film, qui lui-même nous raconte l’histoire. On termine avec un dernier écran géant, qui montre la salle de torture, où le Bonhomme de Pain d’Epices est en mauvaise posture...
Du côté du show en lui-même, c’est de nouveau la grande classe, avec de l’hyper bonne 3D. Côté effets spéciaux, c’est aussi très bien maîtrisé (sauf la Fée Clochette qui elle ne s’est pas trop maîtrisée !).
Voilà, notre tour des attractions s’achève ici ! On passe encore juste faire un tour dans le Store d’à côté. Bilan (j’en ai fait des bilans dans ce TR !) : quelques pin’s pour ma soeur, le guide du parc pour moi (qui date de l’année passée, arnaque !), et on se dirige vers la sortie.
Ou bien on va faire un tour là-dedans ? Euh... nan !
Il va quand même falloir que je fasse un dernier bilan : le général ! Alors, côté attractions, je crois que je l’ai assez répété : c’est le top du top (du top !). Tout est parfait, sauf peut-être quelques attractions du Studio Tour, mais bon, rien n’est à jeter : il faut juste réhabiliter. C’est vrai que le nombre d’attractions est faible, mais c’est chaque fois de l’exceptionnel, donc je ne vois pas comment on peut râler ! L’idée des pré-shows avant l’attraction est très bonne aussi, ça met vraiment bien dans l’ambiance, rien à redire (si, ils en ont pas mis dans les attractions à fort taux de ‘’re-ride’’, ce qui évite de devoir se faire deux fois un pré-show). La durée des attractions est souvent bien plus élevée que la demi-heure, ce qui évite de s’ennuyer !
Côté parc, je suis fan de cette ambiance ‘’studios’’ avec pleins de styles mélangés. Je tiens aussi à remarquer les brumisateurs-ventilateurs (c’est du 2 en 1, comme Vanish !) forts forts agréables.
Côté restos : ben le bretzel bouffé était dégueulasse !
Heureusement, on est allé se rattraper au City Walk quand on est parti (vers 16.00). Et oui, les bretzels ont beau être dégueulasses, ils calent ! Donc les crêpes étaient parfaites, et les bâtons non identifiés à la cannelle aussi.
Voilà voilà, dernière phrase de ce (long) TR : Universal, allez-y : à tout prix !
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