Lundi 20 Aout : Vegaaaaaaaaaaaas
Ce matin, le réveil est un peu plus tardif que d'habitude. Nous profitons de notre literie 4 étoiles en trainassant au lit, mais au bout d'un moment y fait faim !
On se met donc en quête d'un endroit où bien déjeuner, on a envie de se faire plaisir. On tombe sur le "café Bellagio" dans la brochure de l'hôtel, un café ça ne doit pas être trop guindé ? J'enfile donc mes plus belles tongs et direction le "café".
On trouve tant bien que mal et au final de café ça n'a que le nom. Des dadames au brushing impeccable et en robe Chanel (elles l'ont pas oublié elles) font la queue.
Après 10 min une autre dadame de l'hôtel en tailleur noir/gants blancs nous installe.
Banquette luxueuse, couverts qui brillent et serveur aux petits soins. Je regarde le menu un peu craintive de ce que je vais y trouver. Bon au final ces gens là mangent des omelettes et des pancakes comme nous quoi, avec option caviar en plus

.
Pour Régis ça sera omelette fourrée au jambon et au fromage (la meilleure du séjour selon lui) et pour moi pancakes aux fraises (dignes des gariguettes de chez nous, un délice !!!). Le tout arrosé de jus d'orange fraîchement pressé.
Puis sur la table, des petits pots bien de chez nous nous interpellent :
On se régale franchement et vue la note finale il vaut mieux

. Record du petit dej' le plus cher du séjour battu : 52$ ! Oups...On aura pas faim le midi de toute façon avec ça donc on se consolera en se disant que c'est un repas qui en vaut deux.
Après tout ça on est d'attaque pour le strip ! Déjà 15 min pour sortir de l'hôtel du bon côté...Petite vue sur la tour Eiffel en sortant :
Puis direction le sud pour commencer par le New york-New york, j'avais prévu de faire le roller coaster mais c'est que le petit dej est pas loin et faudrait pas gâcher

. Du coup on se dit que ça sera pour une autre fois.
On enchaîne avec le magasin M&n's que Régis attends impatiemment. On y trouve des parfums inédits (menthe, pretzels, peanut butter...) et des bonbons de toutes les couleurs.
Nous continuons avec le coca store, toujours cher à Régis qui se déclare lui même cocacoolique.