si je ne dis pas de betise , il est compris dans le prix de la chambre...ILs le servent jusqu'a quelle heure ( car ce matin la nous ne serons pas pressés de nous lever... 
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karys2229
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si je ne dis pas de betise , il est compris dans le prix de la chambre...ILs le servent jusqu'a quelle heure ( car ce matin la nous ne serons pas pressés de nous lever... -
twixini
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ah oui c'est super beau les couleurs j aime beaucoupFrancis67 a écrit :Etonnantes ces couleurs, non?twixini a écrit :super les photos
Quant au petit déjeuner, je me demande où j'ai réussi à tout caser dans mon estomac. Je le qualifierais de Continental Breakfast Deluxe.karys2229 a écrit :super si l'hotel est bien. Nous y serons dans un mois et demi
vivement la suite... :P
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isabel4601
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Ta prose et tes photos sont grandement appréciés, ton carnet est super, ce que j'adore c'est que suivant la personne chaque carnet est différent et en même temps se ressemble... :P :P
Pour les restrooms sur les highways, ça nous a pas posé de problème de sortir quand on prenait les highways (je préfère leurs "nationales") et pis il faut manger aussi... :P
Pour tes agresseurs, trop mimis(même pas peur), mais pour ce qui est nourrir la "wildlife" trop de touristes essaient de les amadouer avec de la nourriture et le résultat est catastrophique
pour se faire plaisir et faire une photo on fait beaucoup de dégât...
pour la boîte auto, je crois que personne ne peut rire de toi sur ce forum, comme dit Zaius, on a tous vêcu ce genre d'expérience....nous on a trouvé la soluce...après notre voyage en 2009, quand il a fallu changer de voiture, on a pris une boîte auto..... :P :P :P :P
Par contre la conduite américaine par rapport à la France , revenue depuis 15 jours, je n'arrive pas à m'y faire, pourquoi sommes nous si inciviques, irrespectueux et agressifs???? 
Allez Francis, la suite....
Pour les restrooms sur les highways, ça nous a pas posé de problème de sortir quand on prenait les highways (je préfère leurs "nationales") et pis il faut manger aussi... :P
Pour tes agresseurs, trop mimis(même pas peur), mais pour ce qui est nourrir la "wildlife" trop de touristes essaient de les amadouer avec de la nourriture et le résultat est catastrophique
pour se faire plaisir et faire une photo on fait beaucoup de dégât...pour la boîte auto, je crois que personne ne peut rire de toi sur ce forum, comme dit Zaius, on a tous vêcu ce genre d'expérience....nous on a trouvé la soluce...après notre voyage en 2009, quand il a fallu changer de voiture, on a pris une boîte auto..... :P :P :P :P
Par contre la conduite américaine par rapport à la France
, revenue depuis 15 jours, je n'arrive pas à m'y faire, pourquoi sommes nous si inciviques, irrespectueux et agressifs???? Allez Francis, la suite....
Oui, le petit déjeuner est compris dans la chambre. Il faut juste montrer patte blanche pour accéder à la salle. Un Cerbère vérifie soigneusement les numéros de chambre. Il faut dire qu'il y a un autre panneau indiquant que seuls les usagers de l'hôtel peuvent y prendre leur petit déjeuner.karys2229 a écrit :
Et les voitures qui te collent. Par contre, cela fait du bien de ne plus avoir personne qui te dépasse par la droite, comme c'est l'usage aux States.isabel4601 a écrit : Par contre la conduite américaine par rapport à la France
J19 Bryce - Zion - Hurricane
Comment? Ils ont fait ces deux parcs nationaux en une seule journée? Mais ils sont fous! Quels hérétiques! Amenez les fagots et la poix !
Ben... Oui. Mea culpa! Mea maxima minima culpa.
En fait, c'est moi le seul et unique responsable. J'en ai eu soudain ras le bol des parcs nationaux. L'air pollué des villes me manquait et j'étais obligé de mettre mon nez à la sortie du pot d'échappement pour pouvoir respirer quelques bons gaz nocifs. Mais... Je raconte n'importe quoi là. Plus sérieusement, j'ai dû me trouver dans la situation du coureur qui, soudain, ressent un point de côté et a envie d'arrêter.
Nous avons donc liquidé Bryce Canyon en une matinée. Une halte tout au bout de la route qui traverse le park, à 3.000 mètres d'altitude. Une petite ballade à sautiller entre deux amas de neige. Une extase de principe devant la magnificence des lieux qui s'affiche devant quelques points of view. Un corbeau sans gêne qui ne prenait même pas la peine de s'envoler lorsqu'on passait devant lui à le frôler et, grâce à ma mine de martyr mis au supplice, nous étions repartis. Direction Hurricane où se trouvait notre hôtel.
Nous sommes donc en début d'après-midi. Nous avons mangé un sandwich acheté à Bryce sur le bord de la route et nous arrivons devant le long tunnel qui mène au parc. Coup de bol. C'est le moment que choisit le ranger qui fait la circulation pour faire passer notre file. Apparemment, ce ne sont plus seulement les véhicules à fort gabarit qui empruntent le tunnel après que la voie de circulation inverse ait été neutralisée, mais tous les véhicules.
Passé le tunnel, se succèdent une série de lacets aux angles suraigus qui nous mènent directement au visitor center où nous empruntons la navette qui nous dépose tout en haut, au Temple of Sinawava d'où nous entamons une petite ballade en direction des narrows et en profitons pour une petite trempette des pieds dans la rivière.
Mais il y a beaucoup de monde. Et oui. Aujourd'hui c'est Pâques. Dommage. Il faudrait pouvoir revenir en une période plus tempérée et remonter la rivière, avec de l'eau jusqu'au ventre. Une prochaine année, peut-être.
Je prends mon smartphone. Coup de bol, le GPS capte le satellite. Je clique sur les coordonnées de l'hôtel et une voix me dit: " dans 3 kilomètres tournez à droite ".
Et voilà! Je ne pouvais pas imaginer qu'on était loin d'avoir traversé toute la ville, même s'il n'y avait plus aucune habitation autour de la gigantesque artère principale. C'est les USA!
Demain, puisque nous avons vu Zion aujourd'hui, ce sera une route pépère jusqu'à Las Vegas d'où nous prendrons un vol le surlendemain pour New York.
Notre roadtrip s'achève et nous sommes tristes de devoir bientôt abandonner notre Chevrolet. Celle-ci d'ailleurs proteste en m'envoyant de temps en temps quelques décharges d'électricité statique.
Animiste, moi? Un peu !
Comment? Ils ont fait ces deux parcs nationaux en une seule journée? Mais ils sont fous! Quels hérétiques! Amenez les fagots et la poix !
Ben... Oui. Mea culpa! Mea maxima minima culpa.
En fait, c'est moi le seul et unique responsable. J'en ai eu soudain ras le bol des parcs nationaux. L'air pollué des villes me manquait et j'étais obligé de mettre mon nez à la sortie du pot d'échappement pour pouvoir respirer quelques bons gaz nocifs. Mais... Je raconte n'importe quoi là. Plus sérieusement, j'ai dû me trouver dans la situation du coureur qui, soudain, ressent un point de côté et a envie d'arrêter.
Nous avons donc liquidé Bryce Canyon en une matinée. Une halte tout au bout de la route qui traverse le park, à 3.000 mètres d'altitude. Une petite ballade à sautiller entre deux amas de neige. Une extase de principe devant la magnificence des lieux qui s'affiche devant quelques points of view. Un corbeau sans gêne qui ne prenait même pas la peine de s'envoler lorsqu'on passait devant lui à le frôler et, grâce à ma mine de martyr mis au supplice, nous étions repartis. Direction Hurricane où se trouvait notre hôtel.
Môssieur Sans-Gêne !
Google Maps m'avait indiqué un itinéraire passant par l'interstate 15, celle qui mène à Las Vegas. C'était sans compter sur la perspicacité de me femme qui, sur une carte routière quelque peu déficiente (voir notre trajet de Chinle à Cortez) me fit emprunter la 89 avec, au beau milieu, je vous le donne Emile, en mille : Zion!Nous sommes donc en début d'après-midi. Nous avons mangé un sandwich acheté à Bryce sur le bord de la route et nous arrivons devant le long tunnel qui mène au parc. Coup de bol. C'est le moment que choisit le ranger qui fait la circulation pour faire passer notre file. Apparemment, ce ne sont plus seulement les véhicules à fort gabarit qui empruntent le tunnel après que la voie de circulation inverse ait été neutralisée, mais tous les véhicules.
Passé le tunnel, se succèdent une série de lacets aux angles suraigus qui nous mènent directement au visitor center où nous empruntons la navette qui nous dépose tout en haut, au Temple of Sinawava d'où nous entamons une petite ballade en direction des narrows et en profitons pour une petite trempette des pieds dans la rivière.
Mais il y a beaucoup de monde. Et oui. Aujourd'hui c'est Pâques. Dommage. Il faudrait pouvoir revenir en une période plus tempérée et remonter la rivière, avec de l'eau jusqu'au ventre. Une prochaine année, peut-être.
Zion et son eau très très fraîche !
Nous voici à Hurricane, à la recherche de l'hôtel. Nous traversons toute la ville mais pas de Comfort Inn. Nous avons dû le rater. Nous faisons demi tour, passons devant la voiture du sheriff, tous nos sens en éveil. Rien!Je prends mon smartphone. Coup de bol, le GPS capte le satellite. Je clique sur les coordonnées de l'hôtel et une voix me dit: " dans 3 kilomètres tournez à droite ".
Et voilà! Je ne pouvais pas imaginer qu'on était loin d'avoir traversé toute la ville, même s'il n'y avait plus aucune habitation autour de la gigantesque artère principale. C'est les USA!
Demain, puisque nous avons vu Zion aujourd'hui, ce sera une route pépère jusqu'à Las Vegas d'où nous prendrons un vol le surlendemain pour New York.
Notre roadtrip s'achève et nous sommes tristes de devoir bientôt abandonner notre Chevrolet. Celle-ci d'ailleurs proteste en m'envoyant de temps en temps quelques décharges d'électricité statique.
Animiste, moi? Un peu !
J20 Hurricane - Las vegas
Comme Zion, qui devait initialement être visité aujourd'hui, a déjà été vu, il ne nous reste plus qu'à rejoindre Las Vegas, étape finale de notre roadtrip. Il suffit pour cela de nous laisser porter par l'Interstate 15.
Comme toujours, depuis que nous sommes aux Etats-Unis, la circulation se révèle fluide. Tout juste, alors que nous pénétrons pour un court instant dans l'Arizona, un mastodonte lancé à vive allure nous dépasse, nous faisant craindre un mauvais remake de " la Menace" avec Yves Montand et la délicieuse Carole Laure.
Quelques kilomètres plus loin, ce seront trois bolides d'une Highway Patrol qui nous dépasseront en trombe. Encore plus loin, nous retrouverons l'un de ces véhicule, arrêté sur la bande d'arrêt d'urgence, son propriétaire verbalisant apparemment un conducteur, sans aucune protection, les voitures passant à quelques dizaines de centimètres de lui.
Alors que midi approche, Las Vegas apparaît dans toute sa démesure. La circulation s'intensifie. Bientôt, la deux voies devient une quatre voies où l'on se fait allégrement dépasser par la droite. Stressant!
Parvenus à la hauteur de Tropicana avenue, nous quittons l'interstate pour prendre la direction de l'aéroport et l'hôtel, un Best Western, où nous avons réservé la chambre.
Il est certes très tôt, le check in n'étant prévu que pour 3 p.m mais je tente ma chance. Great! Nous pouvons l'occuper tout de suite.
Problème, les endroits où se sustenter ne sont pas légions là où nous sommes et le réservoir de la Chevrolet est presque vide. Seule solution, rouler jusqu'au Louxor et y dénicher un fast food.
Après avoir traîné l'après-midi devant la piscine, nous ferons de même le soir, mais au Mac Do de l'Excalibur.
Demain, notre vol pour New York par United Airlines est à 7.45 a.m. Autant dire que le temps de rendre la Chevrolet, de s'enregistrer, passer les contrôles de sécurité, va falloir se lever tôt, très très tôt. United Airlines préconise d'être à l'aéroport au moins deux heures avant le départ, soit 5.45 am.
Comme Zion, qui devait initialement être visité aujourd'hui, a déjà été vu, il ne nous reste plus qu'à rejoindre Las Vegas, étape finale de notre roadtrip. Il suffit pour cela de nous laisser porter par l'Interstate 15.
Comme toujours, depuis que nous sommes aux Etats-Unis, la circulation se révèle fluide. Tout juste, alors que nous pénétrons pour un court instant dans l'Arizona, un mastodonte lancé à vive allure nous dépasse, nous faisant craindre un mauvais remake de " la Menace" avec Yves Montand et la délicieuse Carole Laure.
Quelques kilomètres plus loin, ce seront trois bolides d'une Highway Patrol qui nous dépasseront en trombe. Encore plus loin, nous retrouverons l'un de ces véhicule, arrêté sur la bande d'arrêt d'urgence, son propriétaire verbalisant apparemment un conducteur, sans aucune protection, les voitures passant à quelques dizaines de centimètres de lui.
Alors que midi approche, Las Vegas apparaît dans toute sa démesure. La circulation s'intensifie. Bientôt, la deux voies devient une quatre voies où l'on se fait allégrement dépasser par la droite. Stressant!
Parvenus à la hauteur de Tropicana avenue, nous quittons l'interstate pour prendre la direction de l'aéroport et l'hôtel, un Best Western, où nous avons réservé la chambre.
Il est certes très tôt, le check in n'étant prévu que pour 3 p.m mais je tente ma chance. Great! Nous pouvons l'occuper tout de suite.
Problème, les endroits où se sustenter ne sont pas légions là où nous sommes et le réservoir de la Chevrolet est presque vide. Seule solution, rouler jusqu'au Louxor et y dénicher un fast food.
Après avoir traîné l'après-midi devant la piscine, nous ferons de même le soir, mais au Mac Do de l'Excalibur.
Demain, notre vol pour New York par United Airlines est à 7.45 a.m. Autant dire que le temps de rendre la Chevrolet, de s'enregistrer, passer les contrôles de sécurité, va falloir se lever tôt, très très tôt. United Airlines préconise d'être à l'aéroport au moins deux heures avant le départ, soit 5.45 am.
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Nadou
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- Enregistré le : 12 juin 2011, 19:24
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- Vous êtes randonneur(s) : Débutant(s)
- Localisation : Court-Saint-Etienne / Belgique
Chouette carnet. Merci! J adore ton ami le corbeau pas farouche la bebete!
pas farouche la bebete!Carnet 2009 : Californie - Arizona - Utah
2010 : une semaine à New-York
Carnet 2012 : Floride
Projet 2013 : Arizona - Utah - Colorado - Las Vegas
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