Lundi 27 septembre 2010 : Las Vegas (suite et fin)
C'est lui que nous convoitons...!
Il ne paraît pas très impressionnant... vu d'en bas...
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Nous achetons un pass illimité à 25$/pers. qui nous permet de faire autant de tours que l'on veut en grillant la file d'attente (peu importante ceci dit !).
C'est parti !
Cela fait 20 ans au moins que je ne suis pas montée dans une montagne russe, un de mes grands plaisirs de jeunesse
Petit coup de stress dans la longue montée, je retiens un « LAISSEZ-MOI DESCENDRE » qui n'aurait de toute façon pas trouvé beaucoup d'écho...
Et la descente arrive, énorme, le coeur migre dans les talons, je ferme les yeux et je hurle tout ce que je peux. Une deuxième descente puis looping et vrille s'enchaînent, quelques petites bosses à « air time » pour les spécialistes (n'est ce pas Warrick ?
) et nous voilà revenus dans la gare...
C'est plutôt violent, ça claque pas mal mais on est bien accrochés, quel pied ! Extra !
Je sors avec les jambes en coton quand même et nous marchons quelques minutes dans le Casino avant de remettre ça
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Et hop, deux tours de plus, les yeux ouverts cette fois :P . Indescriptible
. En plus, nous avons une vue sympa sur tout le Strip de là-haut ! (euh, j'ai pas pris de photo hein, faut pas pousser :P
)
Nous revenons - HEUREUX et un peu réconciliés avec LV - au Flamingo à 17h. La chaleur est toujours aussi écrasante.
Nous avons prévu de monter au Sunset en haut de la Stratosphère Tower située au nord du Strip et qui domine la ville du haut de ses 350 mètres...
A 18h, nous récupérons les parents, un peu reposés, au Flamingo
En chemin, nous croisons d'autres prestigieux hôtels-casinos...
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...et rapidement nous approchons du but...
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Nous nous garons sur le Self-Parking du Stratosphère.
Le chemin qui mène à l'entrée de la tour est interminable !
Comme toujours à Vegas, il faut traverser galeries marchandes et casinos pour atteindre le reste…
Il n' y a pas la queue au guichet pour acheter les billets mais une longue file d'attente pour entrer dans les ascenseurs qui nous propulsent, à la vitesse de la lumière
, jusqu'en haut de la tour.
Nous comprenons rapidement pourquoi : les sacs sont fouillés comme à l'aéroport (un vestige du 11 septembre, la psychose autour des gratte-ciels...) et en plus, ils font passer individuels, couples et familles devant l'appareil photo pour créer une photo-montage vendue ensuite au prix fort !
Ces Américains sont les rois du commerce !
D'en haut, la vue embrasse tout Vegas, des millions de lumières, à perte de vue...
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C'est plutôt beau et impressionnant, tout comme les attractions à sensation installées tout en haut de la tour et suspendues au-dessus du vide et que nous observons de longues minutes !
Délirant...mais euh, pour celles-là, nous sommes petits bras et passons notre tour...
Il est 20h, fatigués, nous renonçons à aller voir le Freemont Street Experience au Downtown LV et repartons vers le NY NY Hotel pour faire à nouveau quelques tours de Roller Coaster...
3 nouveaux tours dans la besace (ou plutôt dans l'estomac
) dont un avec beau-papa !
Au milieu du tour, je me retourne et le découvre un peu décomposé ! Il me gratifie d'un « nom de Dieu, il envoie ! » plutôt bien choisi...
LE must de Las Vegas pour nous !
A 22h30, épuisés par cette chaleur torride (il fait encore 33°
), nous rentrons à l'hôtel et nous nous couchons sans manger !
Nous ne verrons même pas les fontaines du Bellagio en action !
A 2h du matin, nous sommes réveillés par des coups frappés à la porte. Nous ne bougeons pas et attendons. Mais cinq minutes plus tard, rebelote ! What's That ???
Je finis par me lever pour aller voir qui est là par l'oeilleton...je vois un jeune homme à la mine patibulaire avec un oreiller sous le bras...
, je recule et on décide de faire les morts...
Il faut dire qu'on se tourne un peu des films quand on est réveillés brutalement en pleine nuit, nous voilà en train d'imaginer - ridiculement - un tueur à gages en train de se tromper de chambre et qui compte amortir le bruit des balles de son pistolet avec un oreiller...!
On se rendort quand à 2h30, le gars revient frapper
, ça devient stressant...
Il dit un truc du style « Vous avez demandé un oreiller »
Bizarre quand même, il n'est pas habillé comme un Groom...
Evidemment nous n'avons rien demandé du tout...ce qu'on lui dit clairement cette fois à travers la porte...
Il renonce et repart, nous laissant enfin finir tranquillement notre nuit...
Drôle de nuit et drôle de ville décidément...
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