La Nouvelle-Zélande, il y a presque 10 ans déjà!
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Cette section vous permet de publier vos récits de voyage hors USA. Faites partager vos expériences, vos émotions, à travers votre regard et votre plume ! Et n'hésitez pas à agrémenter votre carnet de photos et de vidéos !
NB : ces carnets sont personnels. Ils ne sont que le reflet d'un état d'esprit à un moment donné et doivent être lus comme tels.
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J 12 : la pointe "kiwi"
Jeudi 6 février
Le programme initial dans notre voyage était d’aller marcher dans le parc Abel Tasman, après avoir fait la sortie en Kayak hier. Finalement on y renonce parce qu'on considère qu’on a bien profité du parc déjà hier, et encore une fois on "avance" notre programme d’une journée en allant dès à présent vers la pointe nord de l’île du sud, Farewell spit. Sur la carte, elle ressemble à une tête de kiwi, d'où le titre de mon post.
Le trajet est sympa et pas compliqué puisqu'il n'y a pour ainsi dire qu'une seule route. On contourne complètement Abel Tasman park évidemment, et on a quelques collines à franchir qui donnent un joli point de vue sur la baie.
Côté Motueka
Côté parc
On traverse des paysages très peu habités, on ne croise pour ainsi dire personne mais on achète des myrtilles (et d'autres fruits possiblement) sur le bord de la route dans une petite cabane en bois dédiée au libre-service où l’on laisse ses billets dans une petite boite (il y en a pas mal en NZ).
En chemin, on fait un détour grâce à l’appli des frogs et on découvre Pupu springs (enfin Te Waikoropupū Springs plus exactement), une source avec une eau magnifique !
D'après le DOC "les sources de Te Waikoropupū sont les plus grandes sources d'eau douce de Nouvelle-Zélande, les plus grandes sources d'eau froide de l'hémisphère sud et contiennent certaines des eaux les plus claires jamais mesurées."
Avant on pouvait s’y baigner mais c’est désormais interdit pour préserver la qualité de l’eau.
Mais pas interdit aux canards évidemment !
La balade en boucle d'environ 1km est agréable et aménagée pour les PMR.
On poursuit notre route et en arrivant à Collingwood, un village grand comme...une rue entière ! on trouve un endroit pour déjeuner. C'est un joli café qui s'appelle "Courthouse". La déco est très cosy et la cuisine délicieuse (enfin ne nous emballons pas il s'agit toujours de sandwichs et salades).
C'est de ce village que partent des expéditions en véhicule motorisé pour Farewell spit, avec un bus 4x4 qui permet d'aller jusqu'au phare, tout au bout de la pointe. Nous n'avions pas prévu d'excursion donc nous continuons en van jusqu'au bout pour marcher.
Encore une immense plage à longer avant d'arriver au bec du kiwi...
Et on arrive au bout du monde, dans le parking des randonnées de Farewell spit et Puponga (triangle flat car park peut-être ? mes souvenirs ne sont pas très précis). On entame une randonnée en boucle permettant de relier la côte sud et la côte nord. C’est très beau et assez surprenant, je n’avais jamais vu ce genre de paysage sur une surface aussi étendue.
Côté nord donc, on aborde une plage en pente très douce où la mer peut monter assez haut, ne laissant qu'une petite bande de sable découverte. Comme ce n'est pas marée haute des oiseaux sont en train de grapiller quelques bestioles dans l'eau peu profonde.
Puis au bout de 4 kilomètres, on n'a pas le droit d'aller plus loin et on emprunte le sentier pour traverser la bande de terre et se rendre de l'autre côté, où le paysage change complètement.
Que de sable....
Petit bonus, le cadavre de cachalot sur la plage en train de pourrir… le vent va porter son odeur à nos narines bien avant que l'on puisse le voir.
La frontière de la marée
On relonge donc la plage dans l'autre sens en nous dirigeant vers ces falaises
(je porte ma veste pour éviter le sable, mais mes mollets seront bien fouettés eux )
Une fois arrivés ici il faut à nouveau s'enfoncer dans les terres pour rejoindre notre van.
On traverse des champs de moutons en passant par-dessus les clôtures par des accès aménagés pour les randonneurs.
Contrairement à sa réputation, la NZ n'est plus un pays de moutons. Le bœuf est beaucoup plus rentable, et c'est bien triste car ça dénature beaucoup plus le paysage.
Après cette bonne randonnée (à la louche je dirais 10 km), on retrouve notre van au parking.
Puisqu'on a une journée d'avance sur notre programme (le prochain impératif est notre réservation dans les fjords dans 6 jours) on reprend la route et on refait le trajet en sens inverse (une bonne centaine de kilomètres) pour rejoindre à nouveau le camping top 10 de Motueka pour la nuit (3 fois de suite, un record dans ce voyage itinérant !! Dommage que ça ait été dans l’un des plus chers !). Le passage au coucher du soleil nous donne de belles photos sur les collines derrière le parc.
Demain nous aurons donc moins de trajet à faire pour notre prochaine étape vers le sud.
Et voilà, nous en sommes au milieu de ce voyage ! C’est la première fois que je prenais des congés aussi long, et je vais clairement y prendre goût !
Le programme initial dans notre voyage était d’aller marcher dans le parc Abel Tasman, après avoir fait la sortie en Kayak hier. Finalement on y renonce parce qu'on considère qu’on a bien profité du parc déjà hier, et encore une fois on "avance" notre programme d’une journée en allant dès à présent vers la pointe nord de l’île du sud, Farewell spit. Sur la carte, elle ressemble à une tête de kiwi, d'où le titre de mon post.
Le trajet est sympa et pas compliqué puisqu'il n'y a pour ainsi dire qu'une seule route. On contourne complètement Abel Tasman park évidemment, et on a quelques collines à franchir qui donnent un joli point de vue sur la baie.
Côté Motueka
Côté parc
On traverse des paysages très peu habités, on ne croise pour ainsi dire personne mais on achète des myrtilles (et d'autres fruits possiblement) sur le bord de la route dans une petite cabane en bois dédiée au libre-service où l’on laisse ses billets dans une petite boite (il y en a pas mal en NZ).
En chemin, on fait un détour grâce à l’appli des frogs et on découvre Pupu springs (enfin Te Waikoropupū Springs plus exactement), une source avec une eau magnifique !
D'après le DOC "les sources de Te Waikoropupū sont les plus grandes sources d'eau douce de Nouvelle-Zélande, les plus grandes sources d'eau froide de l'hémisphère sud et contiennent certaines des eaux les plus claires jamais mesurées."
Avant on pouvait s’y baigner mais c’est désormais interdit pour préserver la qualité de l’eau.
Mais pas interdit aux canards évidemment !
La balade en boucle d'environ 1km est agréable et aménagée pour les PMR.
On poursuit notre route et en arrivant à Collingwood, un village grand comme...une rue entière ! on trouve un endroit pour déjeuner. C'est un joli café qui s'appelle "Courthouse". La déco est très cosy et la cuisine délicieuse (enfin ne nous emballons pas il s'agit toujours de sandwichs et salades).
C'est de ce village que partent des expéditions en véhicule motorisé pour Farewell spit, avec un bus 4x4 qui permet d'aller jusqu'au phare, tout au bout de la pointe. Nous n'avions pas prévu d'excursion donc nous continuons en van jusqu'au bout pour marcher.
Encore une immense plage à longer avant d'arriver au bec du kiwi...
Et on arrive au bout du monde, dans le parking des randonnées de Farewell spit et Puponga (triangle flat car park peut-être ? mes souvenirs ne sont pas très précis). On entame une randonnée en boucle permettant de relier la côte sud et la côte nord. C’est très beau et assez surprenant, je n’avais jamais vu ce genre de paysage sur une surface aussi étendue.
Côté nord donc, on aborde une plage en pente très douce où la mer peut monter assez haut, ne laissant qu'une petite bande de sable découverte. Comme ce n'est pas marée haute des oiseaux sont en train de grapiller quelques bestioles dans l'eau peu profonde.
Puis au bout de 4 kilomètres, on n'a pas le droit d'aller plus loin et on emprunte le sentier pour traverser la bande de terre et se rendre de l'autre côté, où le paysage change complètement.
Que de sable....
Petit bonus, le cadavre de cachalot sur la plage en train de pourrir… le vent va porter son odeur à nos narines bien avant que l'on puisse le voir.
La frontière de la marée
On relonge donc la plage dans l'autre sens en nous dirigeant vers ces falaises
(je porte ma veste pour éviter le sable, mais mes mollets seront bien fouettés eux )
Une fois arrivés ici il faut à nouveau s'enfoncer dans les terres pour rejoindre notre van.
On traverse des champs de moutons en passant par-dessus les clôtures par des accès aménagés pour les randonneurs.
Contrairement à sa réputation, la NZ n'est plus un pays de moutons. Le bœuf est beaucoup plus rentable, et c'est bien triste car ça dénature beaucoup plus le paysage.
Après cette bonne randonnée (à la louche je dirais 10 km), on retrouve notre van au parking.
Puisqu'on a une journée d'avance sur notre programme (le prochain impératif est notre réservation dans les fjords dans 6 jours) on reprend la route et on refait le trajet en sens inverse (une bonne centaine de kilomètres) pour rejoindre à nouveau le camping top 10 de Motueka pour la nuit (3 fois de suite, un record dans ce voyage itinérant !! Dommage que ça ait été dans l’un des plus chers !). Le passage au coucher du soleil nous donne de belles photos sur les collines derrière le parc.
Demain nous aurons donc moins de trajet à faire pour notre prochaine étape vers le sud.
Et voilà, nous en sommes au milieu de ce voyage ! C’est la première fois que je prenais des congés aussi long, et je vais clairement y prendre goût !
Modifié en dernier par Aotearoa69 le 03 janv. 2024, 11:24, modifié 1 fois.
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Re: La Nouvelle-Zélande, il y a presque 10 ans déjà!
Geniale la variete des paysages sur cette journée
Pourquoi les vaches denaturent plus le paysage que les moutons?
Deja la moitie du voyage, qu est ce que ca passe vite!!
Pourquoi les vaches denaturent plus le paysage que les moutons?
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Re: La Nouvelle-Zélande, il y a presque 10 ans déjà!
Parce qu'ici tu as des moutons qui se baladent et mangent une herbe naturellement verte avec des arbres et des haies, et plus tard sur l'île du sud on tombera sur des zones désertiques où fleurissent des oasis rondes artificiellement irriguées pour faire paitre des vaches, ressemblant à ça vu du ciel
Ça colle moins avec l'image "nature sauvage" du pays.
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Re: La Nouvelle-Zélande, il y a presque 10 ans déjà!
Mais j ai pas compris en quoi c est la faute des vaches?
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Re: La Nouvelle-Zélande, il y a presque 10 ans déjà!
Simplement parce que l'élevage des vaches est beaucoup plus gourmand en espace et en approvisionnement (eau et nourriture) que les moutons.
Alors comme le nombre de moutons est passé de 70 millions dans les années 80 à 26 millions aujourd'hui, alors que le nombre de vaches a suivi la courbe inverse (10 millions de bovins aujourd'hui contre environ 3 millions il y a 40 ans), la taille des surfaces exploitées a aussi augmenté.
Alors comme le nombre de moutons est passé de 70 millions dans les années 80 à 26 millions aujourd'hui, alors que le nombre de vaches a suivi la courbe inverse (10 millions de bovins aujourd'hui contre environ 3 millions il y a 40 ans), la taille des surfaces exploitées a aussi augmenté.
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J 13 : en route pour la West Coast
Vendredi 7 février
Après 3 nuits passées au même camping, il est temps de quitter le nord de cette île du sud pour rejoindre la côte ouest (West Coast comme disent les gens branchés). Coincée entre la mer de Tasman et la chaine des Alpes locale, la west coast est synonyme de pluies abondantes (environ 2 jours sur 3) donc de végétation luxuriante et de grosses vagues !
Et effectivement aujourd’hui le ciel est bas et gris, jusque sur la côte nord, et plus on descend plus il devient moche !
Presque 300km pour ce jour
On met le cap au sud et on décide de faire un petit détour vers le lac de Rotoroa.
Il se situe dans Nelson Lakes national park, on pourrait y marcher un peu, mais la météo n’est toujours pas meilleure, et surtout à peine sortis on se fait assaillir par les sandflies ! Ces minuscules bestioles nous pourrissent la vie. On retourne donc s’abriter dans la voiture et on tue une par une toutes celles qui sont entrées dans l’habitacle avant de repartir.
Du fait de la météo, ce trajet ne me laisse pas un souvenir mémorable, je trouve la route monotone, et pourtant sur google elle est sympa.
Arrivés à Murchison, on a faim, et comme on a rien de mieux à faire on déjeune en ville. Un peu au hasard de l’appli des frogs on choisit le Rivers Cafe mais il s'avèrera plutôt bon (gros burger et frites), et j’achète quelques bijoux dans une boutique d’artisanat au fond du restaurant.
Puis on enchaine avec une petite grimpette sur la colline à la sortie de la ville, histoire de nous défouler et de nous situer dans le paysage. C'est le Matakitaki skyline walk (du nom de la rivière qui passe là). Résultat : on verra juste qu’on est à côté de l’aéroport et le ciel n'a absolument pas l'air de vouloir se dégager aujourd'hui.
Ensuite on repart en van et on fait une vraie pause à Buller Gorge swing bridge. Il y a là un pont suspendu pour marcher ou une tyrolienne pour…tyroler ? au-dessus de la rivière, et ensuite une petite balade en forêt et quelques panneaux explicatifs nous permettent de constater les dégâts d’un tremblement de terre en 1929. Les couleurs de la roche et de l'eau sont très belles, malgré la pluie persistante.
Cette faille apparue à l’époque du tremblement de terre m’impressionne.
On peut même marcher dedans
Notre passage à Kapiti nous a vraiment fait focaliser sur les oiseaux !
Encore 2 petites heures de route pour atteindre Punakaiki. Le passage des terres à la west coast est impressionnant, le paysage change vraiment beaucoup et c’est toujours magnifique. En terme de flore, la fougère est accompagnée de palmiers maintenant.
On nous annonce même une nouvelle faune !
Mais nous n'aurons pas la chance d'en croiser.
Malheureusement il fait toujours gris.
On finit notre journée en s'enregistrant au Punakaiki beach camp. La plage est bien là mais aucune envie d’aller s’y tremper par ce temps ! On entend parler français au camping, ça faisait longtemps !
On se réchauffe au coin du poêle à bois dans la cuisine, le temps de manger notre repas de secours, le côté rustique était très sympa.
Et on en profite même pour faire une lessive, car il y a une pièce chauffée exprès pour faire sécher le linge !
Nuit sans encombre.
Après 3 nuits passées au même camping, il est temps de quitter le nord de cette île du sud pour rejoindre la côte ouest (West Coast comme disent les gens branchés). Coincée entre la mer de Tasman et la chaine des Alpes locale, la west coast est synonyme de pluies abondantes (environ 2 jours sur 3) donc de végétation luxuriante et de grosses vagues !
Et effectivement aujourd’hui le ciel est bas et gris, jusque sur la côte nord, et plus on descend plus il devient moche !
Presque 300km pour ce jour
On met le cap au sud et on décide de faire un petit détour vers le lac de Rotoroa.
Il se situe dans Nelson Lakes national park, on pourrait y marcher un peu, mais la météo n’est toujours pas meilleure, et surtout à peine sortis on se fait assaillir par les sandflies ! Ces minuscules bestioles nous pourrissent la vie. On retourne donc s’abriter dans la voiture et on tue une par une toutes celles qui sont entrées dans l’habitacle avant de repartir.
Du fait de la météo, ce trajet ne me laisse pas un souvenir mémorable, je trouve la route monotone, et pourtant sur google elle est sympa.
Arrivés à Murchison, on a faim, et comme on a rien de mieux à faire on déjeune en ville. Un peu au hasard de l’appli des frogs on choisit le Rivers Cafe mais il s'avèrera plutôt bon (gros burger et frites), et j’achète quelques bijoux dans une boutique d’artisanat au fond du restaurant.
Puis on enchaine avec une petite grimpette sur la colline à la sortie de la ville, histoire de nous défouler et de nous situer dans le paysage. C'est le Matakitaki skyline walk (du nom de la rivière qui passe là). Résultat : on verra juste qu’on est à côté de l’aéroport et le ciel n'a absolument pas l'air de vouloir se dégager aujourd'hui.
Ensuite on repart en van et on fait une vraie pause à Buller Gorge swing bridge. Il y a là un pont suspendu pour marcher ou une tyrolienne pour…tyroler ? au-dessus de la rivière, et ensuite une petite balade en forêt et quelques panneaux explicatifs nous permettent de constater les dégâts d’un tremblement de terre en 1929. Les couleurs de la roche et de l'eau sont très belles, malgré la pluie persistante.
Cette faille apparue à l’époque du tremblement de terre m’impressionne.
On peut même marcher dedans
Notre passage à Kapiti nous a vraiment fait focaliser sur les oiseaux !
Encore 2 petites heures de route pour atteindre Punakaiki. Le passage des terres à la west coast est impressionnant, le paysage change vraiment beaucoup et c’est toujours magnifique. En terme de flore, la fougère est accompagnée de palmiers maintenant.
On nous annonce même une nouvelle faune !
Mais nous n'aurons pas la chance d'en croiser.
Malheureusement il fait toujours gris.
On finit notre journée en s'enregistrant au Punakaiki beach camp. La plage est bien là mais aucune envie d’aller s’y tremper par ce temps ! On entend parler français au camping, ça faisait longtemps !
On se réchauffe au coin du poêle à bois dans la cuisine, le temps de manger notre repas de secours, le côté rustique était très sympa.
Et on en profite même pour faire une lessive, car il y a une pièce chauffée exprès pour faire sécher le linge !
Nuit sans encombre.
Modifié en dernier par Aotearoa69 le 03 janv. 2024, 11:25, modifié 2 fois.
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Re: La Nouvelle-Zélande, il y a presque 10 ans déjà!
Ca m a fait penser a la road to hana tiens ^^
C est vrai que la couleur de l eau est superbe et la faille impressionnante
pour les sand flies, c est pas minuscule ? Comment vous avez reussi a les reperer pour les eradiquer dans le van ?
C est vrai que la couleur de l eau est superbe et la faille impressionnante
pour les sand flies, c est pas minuscule ? Comment vous avez reussi a les reperer pour les eradiquer dans le van ?
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Re: La Nouvelle-Zélande, il y a presque 10 ans déjà!
Ah oui, je vois les similitudes que tu identifies! Néanmoins la côte néo-zélandaise a une route large et bien balisée, rien à voir avec les lacets étroits de Hana.
Non, les sandflies sont bien plus faciles à tuer que les moustiques, car ils sont plus "épais" donc mieux repérables, noirs, moins furtifs. Bref dans un environnement donné on peut s'en débarrasser.
Dans le bus dans la région des fjords, il y avait des autocollants sur les fenêtres "ne pas écraser de sandflies sur les fenêtres merci" tellement ça peut faire de grosses tâches noires et rouges dégoutantes
Non, les sandflies sont bien plus faciles à tuer que les moustiques, car ils sont plus "épais" donc mieux repérables, noirs, moins furtifs. Bref dans un environnement donné on peut s'en débarrasser.
Dans le bus dans la région des fjords, il y avait des autocollants sur les fenêtres "ne pas écraser de sandflies sur les fenêtres merci" tellement ça peut faire de grosses tâches noires et rouges dégoutantes