52 jours chez l'oncle Sam
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- 22sky33
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Re: 52 jours chez l'oncle Sam
Kanab, 15 au 18 juin
Nous quittons Sedona avec un petit pincement au cœur, cette ville nous aura bien plu et il y a beaucoup à faire dans cette région, mais Kanab nous tend déjà les bras.
Au passage, nous faisons une petite halte pour le casse croûte de midi et pour admirer Navajo Bridge qui enjambe le Colorado et le Marble Canyon, en fait un double pont dont le plus vieux est désormais pietonnier.
Nous prenons notre courage à deux main pour faire quelques photos, il fait 40°C, c’est un pont à chaleur tournante.
Après cinq heures de route depuis Sedona, nous atteignons enfin le Canyon lodge de Kanab où nous passerons 4 nuits.
L’hôtel est divisé en deux parties et nous avons choisi le petit bâtiment en rondin, en rez de chaussée, côté piscine.
Ce bâtiment dispose d’un petit coin détente bien agréable dont nous abuserons en fin d’après midi.
Nous aimons bien Kanab plus que la ville voisine de Page où nous avions séjourné en 2013.
Bien que l’on soit près du visitor center, nous ne tenterons pas le tirage au sort pour The Wave, nous en avons fait notre deuil après les tirages perdus sur internet.
Par contre, nous avons eu, beaucoup plus facilement nos permis pour Coyote Buttes Sud et nous attendons beaucoup de cette visite avec les Dobson.
Lors de nos balades, on s’aperçoit qu’il y a eu pas mal d’orages dans le coin car quelques pistes comme la Cottonwood Canyon Road sont fermées.
C’en est fini de Yellowrock avant même de commencer, cela restera un de mes grands regrets.
Heureusement, la House Rock Valley est ouverte et nous allons pouvoir faire Wire Pass, surtout que le temps est au beau et sec.
Faut dire que question météo, on est plutôt verni depuis le début, les orages ayant l’élégance d’éclater quelques jours avant nos dates d’arrivée.
Nous empruntons cette piste qui se révélera sèche et roulante, mais je roule doucement car en 2013 lorsque nous avions fait Edmaier Secret, nous étions revenus avec une crevaison lente.
Cela permettra aussi d’éviter d’écraser quelques beaux spécimens de la région.
La piste sinue au milieu de beaux paysages sauvages qui la bordent avec générosité, c’est le côté un peu aventure des vacances, ici on sent bien que tout peut arriver, de la crevaison à l’enlisement au passage des washs.
Rassurez vous, nous ne finirons pas en squelettes désséchés, il y a quand même un peu de circulation sur cette piste.
Nous passons devant le parking du trail Buckskin Gulch, celui où nous nous étions garés pour découvrir Edmaier lors du shutdown de 2013.
Je verse une petite larme d’émotion et nous continuons notre chemin jusqu’au parking commun aux visiteurs de The Wave et aux moins chanceux comme nous, qui se contenterons de Wire pass.
Il y a déjà du monde.
Il fait chaud mais pas un nuage à l’horizon ce qui est rassurant quand on s’engage dans un canyon encaissé où il vaut mieux éviter d’être confronté à un orage. Dans ces régions, ça ne pardonne pas.
C’est donc le cœur léger et la trouille au ventre que nous faisons connaissance avec Wire pass.
Randonnée très agréable même si ça ne remplace pas The Wave.
Dans le canyon, nous sommes arrêté par un obstacle qu’il faut descendre. Des randonneurs sont à pied d’œuvre et s’entraident pour descendre sans se casser la figure, on les regarde se contorsionner, l’obstacle est en surplomb ce qui ne facilite pas la tâche.
Et puis, il faudra bien l’escalader au retour.
Mais je sais pour l’avoir lu dans un carnet qu’il existe un moyen de le contourner et nous faisons demi tour.
A peine ressorti du canyon, nous découvrons l’accès de la déviation bien indiquée quand on la cherche.
Ça grimpe un peu pour atteindre le haut du canyon mais le détour n’est pas important et la vue magnifique.
Vue du canyon
Nous redescendons dans le canyon à ce niveau et allons voir l’obstacle, histoire de ne rien rater du canyon.
Nous n’avons pas perdu beaucoup de temps par rapport aux randonneurs qui nous précédaient puisqu’ils sont juste devant nous .
Nous continuons dans Buckskin Gulch, de plus en plus boueux et nous n’irons pas bien loin, n’ayant pas envie de mettre les pieds dans les mares douteuses.
L’esprit aventureux s’arrête là, Sophie refusant de me porter sur son dos.
L’autre côté du canyon étant tout aussi engageant, nous décidons de battre en retraite.
Nous n’avons pas revu les autres randonneurs, ont-ils été englouti par les boues mouvantes, ont-ils disparu dans les eaux sombres du Gulch ?
Nous ne savons pas ce qu’il y a au-delà des mares mais ce n’est pas grave, c’était quand même une belle petite rando et la fraîcheur était bien agréable dans le canyon.
Et comme chaque fin d’après midi, nous en profitons pour reprendre des forces autour d’un petit apéritif anisé que nous apprécions bien avec ces 36°C.
Un petit résumé de Wire Pass
Nous quittons Sedona avec un petit pincement au cœur, cette ville nous aura bien plu et il y a beaucoup à faire dans cette région, mais Kanab nous tend déjà les bras.
Au passage, nous faisons une petite halte pour le casse croûte de midi et pour admirer Navajo Bridge qui enjambe le Colorado et le Marble Canyon, en fait un double pont dont le plus vieux est désormais pietonnier.
Nous prenons notre courage à deux main pour faire quelques photos, il fait 40°C, c’est un pont à chaleur tournante.
Après cinq heures de route depuis Sedona, nous atteignons enfin le Canyon lodge de Kanab où nous passerons 4 nuits.
L’hôtel est divisé en deux parties et nous avons choisi le petit bâtiment en rondin, en rez de chaussée, côté piscine.
Ce bâtiment dispose d’un petit coin détente bien agréable dont nous abuserons en fin d’après midi.
Nous aimons bien Kanab plus que la ville voisine de Page où nous avions séjourné en 2013.
Bien que l’on soit près du visitor center, nous ne tenterons pas le tirage au sort pour The Wave, nous en avons fait notre deuil après les tirages perdus sur internet.
Par contre, nous avons eu, beaucoup plus facilement nos permis pour Coyote Buttes Sud et nous attendons beaucoup de cette visite avec les Dobson.
Lors de nos balades, on s’aperçoit qu’il y a eu pas mal d’orages dans le coin car quelques pistes comme la Cottonwood Canyon Road sont fermées.
C’en est fini de Yellowrock avant même de commencer, cela restera un de mes grands regrets.
Heureusement, la House Rock Valley est ouverte et nous allons pouvoir faire Wire Pass, surtout que le temps est au beau et sec.
Faut dire que question météo, on est plutôt verni depuis le début, les orages ayant l’élégance d’éclater quelques jours avant nos dates d’arrivée.
Nous empruntons cette piste qui se révélera sèche et roulante, mais je roule doucement car en 2013 lorsque nous avions fait Edmaier Secret, nous étions revenus avec une crevaison lente.
Cela permettra aussi d’éviter d’écraser quelques beaux spécimens de la région.
La piste sinue au milieu de beaux paysages sauvages qui la bordent avec générosité, c’est le côté un peu aventure des vacances, ici on sent bien que tout peut arriver, de la crevaison à l’enlisement au passage des washs.
Rassurez vous, nous ne finirons pas en squelettes désséchés, il y a quand même un peu de circulation sur cette piste.
Nous passons devant le parking du trail Buckskin Gulch, celui où nous nous étions garés pour découvrir Edmaier lors du shutdown de 2013.
Je verse une petite larme d’émotion et nous continuons notre chemin jusqu’au parking commun aux visiteurs de The Wave et aux moins chanceux comme nous, qui se contenterons de Wire pass.
Il y a déjà du monde.
Il fait chaud mais pas un nuage à l’horizon ce qui est rassurant quand on s’engage dans un canyon encaissé où il vaut mieux éviter d’être confronté à un orage. Dans ces régions, ça ne pardonne pas.
C’est donc le cœur léger et la trouille au ventre que nous faisons connaissance avec Wire pass.
Randonnée très agréable même si ça ne remplace pas The Wave.
Dans le canyon, nous sommes arrêté par un obstacle qu’il faut descendre. Des randonneurs sont à pied d’œuvre et s’entraident pour descendre sans se casser la figure, on les regarde se contorsionner, l’obstacle est en surplomb ce qui ne facilite pas la tâche.
Et puis, il faudra bien l’escalader au retour.
Mais je sais pour l’avoir lu dans un carnet qu’il existe un moyen de le contourner et nous faisons demi tour.
A peine ressorti du canyon, nous découvrons l’accès de la déviation bien indiquée quand on la cherche.
Ça grimpe un peu pour atteindre le haut du canyon mais le détour n’est pas important et la vue magnifique.
Vue du canyon
Nous redescendons dans le canyon à ce niveau et allons voir l’obstacle, histoire de ne rien rater du canyon.
Nous n’avons pas perdu beaucoup de temps par rapport aux randonneurs qui nous précédaient puisqu’ils sont juste devant nous .
Nous continuons dans Buckskin Gulch, de plus en plus boueux et nous n’irons pas bien loin, n’ayant pas envie de mettre les pieds dans les mares douteuses.
L’esprit aventureux s’arrête là, Sophie refusant de me porter sur son dos.
L’autre côté du canyon étant tout aussi engageant, nous décidons de battre en retraite.
Nous n’avons pas revu les autres randonneurs, ont-ils été englouti par les boues mouvantes, ont-ils disparu dans les eaux sombres du Gulch ?
Nous ne savons pas ce qu’il y a au-delà des mares mais ce n’est pas grave, c’était quand même une belle petite rando et la fraîcheur était bien agréable dans le canyon.
Et comme chaque fin d’après midi, nous en profitons pour reprendre des forces autour d’un petit apéritif anisé que nous apprécions bien avec ces 36°C.
Un petit résumé de Wire Pass
Modifié en dernier par 22sky33 le 23 nov. 2016, 15:31, modifié 1 fois.
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Re: 52 jours chez l'oncle Sam
Ah, la House Rock Valley road ! C'est déjà un enchantement (pour les yeux parce que pour la voiture ). Nous l'avons prise aussi en février dernier pour faire Edmaier's. Ce coin regorge décidément de pépites à découvrir ...
... moi aussi, j'attends la suite
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Carnet : 8 jours de rêverie hivernale entre Californie et Utah
http://www.sunsetbld.com/forum/topic10459.html
Projet : Arizona-Nouveau-Mexique, peut-être en octobre 2016
http://www.sunsetbld.com/forum/topic10207.html
http://www.sunsetbld.com/forum/topic10459.html
Projet : Arizona-Nouveau-Mexique, peut-être en octobre 2016
http://www.sunsetbld.com/forum/topic10207.html
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Re: 52 jours chez l'oncle Sam
Coyote Buttes South et White pocket
Ce n’est pas l’équivalent de The Wave, laquelle est accessible à pied, à condition d’obtenir le précieux sésame si convoité et si difficile à obtenir.
Non, ce n’est pas The Wave mais c’est tout aussi beau et la découverte de ce site en compagnie de la merveilleuse Susan, restera un de nos plus beau souvenir avec Havasupaï.
Coyote Buttes South, CBS, pour les intimes, n’est pas accessible à pied, même à marée basse.
Et à moins d’être un conducteur expérimenté et d’avoir un vrai 4x4, la seule solution est de louer les services d’un guide.
La veille, nous sommes passés chez les Dobson pour confirmer la réservation, que nous avions faite par mail, et pour convenir de l’horaire.
Nous nous y sommes pris à deux reprises car ce n’est pas facile de les trouver au nid, ces oiseaux là.
Notre guide sera donc Susan, l’épouse de Steve, d’une gentillesse extrême, souriante et volubile, en plus, nous avons la chance d'être ses seuls passagers.
Sophie s’en rappelle encore, parler pendant des heures avec Susan, c’est épuisant mais elle est très curieuse et fait beaucoup d’effort pour se mettre à notre portée.
Bref, avec Susan, la journée s’annonce sous le signe de la joie de vivre.
Dans son vieux 4x4 qui en a vu d’autres, Susan négocie tous les pièges de la piste en poussant des tonitruants « HiHa Cow boy, Cow girl !!! ».
Faut dire, qu’elle ne ménage pas sa monture, chaque ornière pour elle, c’est du rodéo.
Inutile de vous dire qu’avant de porter une canette à sa bouche, il vaut mieux étudier l’état de la piste.
Mais sa joie de vivre est contagieuse et on rit à gorge déployée en se fracassant le crâne contre le plafond du 4x4, au son des « HiHa ! ».
Merci Susan, on se serait fait ch… sans toi.
Nous arrivons à CBS, un des joyaux des Vermilions Cliffs, personne sur le parking sommaire, nous allons avoir ce site exceptionnel rien que pour nous.
Partis vers 7h15, il est 9h quand nous commençons la rando et il fait déjà bien chaud.
Susan et sa magnifique ombrelle
La scène du french kiss, Susan adore, il faut qu’on s’embrasse devant chaque rocher, c’est épuisant
Nous quittons les lieux vers midi, après avoir dévoré le repas préparé par Susan à l'ombre de ces magnifiques roches, nous avons bien crapahuté et c’est loin d’être plat.
Epuisés, nous nous laissons conduire vers White Pocket que nous atteignons 1 heure plus tard.
Un outfitter concurent repart quand nous arrivons, nous serons donc encore seuls pour la visite. Nous découvrons White Pocket sous un soleil de plomb, heureusement que le site est bien ventilé, le vent aidera à supporter la chaleur, mais que c’est dur les vacances.
Les roches tourmentées blanches et roses, réfléchissent bien les rayons du soleil, Susan commence à accuser le coup, mais elle n’est pas la seule, White Pocket thermostat 12, ça se mérite.
Nous sommes restés 1h30 sur place et cela nous a bien suffi, c’est lessivés mais ravis que nous rejoignons le carrosse de Susan.
Franchement nous ne regrettons pas les 350 $ investis pour cette expédition, cela aurait été une erreur de passer à coté de ces joyaux et de toute façon, nous n’aurions pas pu le faire par nous même et nous n’aurions pas fait la connaissance de Susan, un Monument National à elle toute seule.
Nous rentrons au rythme des « HiHa !! » que l’on pousse en cœur lorsque nous sautons sur les ornières laissées par Julo40 lors de son dernier périple dans les Vermilions Cliffs.
La journée s’achève, il ne reste plus qu’à contempler les photos tout en sirotant un verre de vin californien bien mérité.
et pourquoi pas une petite vidéo
Ce n’est pas l’équivalent de The Wave, laquelle est accessible à pied, à condition d’obtenir le précieux sésame si convoité et si difficile à obtenir.
Non, ce n’est pas The Wave mais c’est tout aussi beau et la découverte de ce site en compagnie de la merveilleuse Susan, restera un de nos plus beau souvenir avec Havasupaï.
Coyote Buttes South, CBS, pour les intimes, n’est pas accessible à pied, même à marée basse.
Et à moins d’être un conducteur expérimenté et d’avoir un vrai 4x4, la seule solution est de louer les services d’un guide.
La veille, nous sommes passés chez les Dobson pour confirmer la réservation, que nous avions faite par mail, et pour convenir de l’horaire.
Nous nous y sommes pris à deux reprises car ce n’est pas facile de les trouver au nid, ces oiseaux là.
Notre guide sera donc Susan, l’épouse de Steve, d’une gentillesse extrême, souriante et volubile, en plus, nous avons la chance d'être ses seuls passagers.
Sophie s’en rappelle encore, parler pendant des heures avec Susan, c’est épuisant mais elle est très curieuse et fait beaucoup d’effort pour se mettre à notre portée.
Bref, avec Susan, la journée s’annonce sous le signe de la joie de vivre.
Dans son vieux 4x4 qui en a vu d’autres, Susan négocie tous les pièges de la piste en poussant des tonitruants « HiHa Cow boy, Cow girl !!! ».
Faut dire, qu’elle ne ménage pas sa monture, chaque ornière pour elle, c’est du rodéo.
Inutile de vous dire qu’avant de porter une canette à sa bouche, il vaut mieux étudier l’état de la piste.
Mais sa joie de vivre est contagieuse et on rit à gorge déployée en se fracassant le crâne contre le plafond du 4x4, au son des « HiHa ! ».
Merci Susan, on se serait fait ch… sans toi.
Nous arrivons à CBS, un des joyaux des Vermilions Cliffs, personne sur le parking sommaire, nous allons avoir ce site exceptionnel rien que pour nous.
Partis vers 7h15, il est 9h quand nous commençons la rando et il fait déjà bien chaud.
Susan et sa magnifique ombrelle
La scène du french kiss, Susan adore, il faut qu’on s’embrasse devant chaque rocher, c’est épuisant
Nous quittons les lieux vers midi, après avoir dévoré le repas préparé par Susan à l'ombre de ces magnifiques roches, nous avons bien crapahuté et c’est loin d’être plat.
Epuisés, nous nous laissons conduire vers White Pocket que nous atteignons 1 heure plus tard.
Un outfitter concurent repart quand nous arrivons, nous serons donc encore seuls pour la visite. Nous découvrons White Pocket sous un soleil de plomb, heureusement que le site est bien ventilé, le vent aidera à supporter la chaleur, mais que c’est dur les vacances.
Les roches tourmentées blanches et roses, réfléchissent bien les rayons du soleil, Susan commence à accuser le coup, mais elle n’est pas la seule, White Pocket thermostat 12, ça se mérite.
Nous sommes restés 1h30 sur place et cela nous a bien suffi, c’est lessivés mais ravis que nous rejoignons le carrosse de Susan.
Franchement nous ne regrettons pas les 350 $ investis pour cette expédition, cela aurait été une erreur de passer à coté de ces joyaux et de toute façon, nous n’aurions pas pu le faire par nous même et nous n’aurions pas fait la connaissance de Susan, un Monument National à elle toute seule.
Nous rentrons au rythme des « HiHa !! » que l’on pousse en cœur lorsque nous sautons sur les ornières laissées par Julo40 lors de son dernier périple dans les Vermilions Cliffs.
La journée s’achève, il ne reste plus qu’à contempler les photos tout en sirotant un verre de vin californien bien mérité.
et pourquoi pas une petite vidéo
Modifié en dernier par 22sky33 le 23 nov. 2016, 15:32, modifié 1 fois.
- lOckl@n
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Re: 52 jours chez l'oncle Sam
Hi
C'est toujours aussi magnifique de pouvoir contempler des photos de CBS et White Pocket
Cette visite est en 1ère position dans ma wish-list si nous avons la chance de revenir un jour vers ces contrées...
Les réflections avec les poches d'eau sont superbes également
Je revois aussi avec plaisir les photos de Wire Pass.
A l'aller, nous avons directement pris le détour pour éviter le passage de la descente de la grosse roche.
Par contre au retour, nous avons enjambé cette paroi rocheuse avec plus de facilité que nous le pensions au départ.
C'est toujours aussi magnifique de pouvoir contempler des photos de CBS et White Pocket
Cette visite est en 1ère position dans ma wish-list si nous avons la chance de revenir un jour vers ces contrées...
Les réflections avec les poches d'eau sont superbes également
Je revois aussi avec plaisir les photos de Wire Pass.
A l'aller, nous avons directement pris le détour pour éviter le passage de la descente de la grosse roche.
Par contre au retour, nous avons enjambé cette paroi rocheuse avec plus de facilité que nous le pensions au départ.
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Re: 52 jours chez l'oncle Sam
Merci pour cette suite merveilleuse c'est votre carnet qui m'a donné envie de ma rêverie Par contre je ne pense pas avoir 52 jours
l'ouest reste toujours un voyage inoubliable
Dans la section carnets d'ailleurs rubrique saloon retrouvé mes carnets sur la région québécoise , mon WK à Londres , mon séjour à Rome , mon séjour à Lisbonne et mon voyage en Andalousie
voyage est 2011 Chicago et le Wisconsin
7 jours à Washington 2013
De SF à LA par la PCH1 en 12 jours 2014
Septembre 2016 boucle depuis Denver visite Yellowstone
Boucle 20 jours au départ de LA septembre 2018
back to Yellowstone 2022
Dans la section carnets d'ailleurs rubrique saloon retrouvé mes carnets sur la région québécoise , mon WK à Londres , mon séjour à Rome , mon séjour à Lisbonne et mon voyage en Andalousie
voyage est 2011 Chicago et le Wisconsin
7 jours à Washington 2013
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Re: 52 jours chez l'oncle Sam
Au top cette suite de carnet, Havasu, Sedona Vous avez vraiment crapahuté
C'est vraiment magnifique CBS et White Pocket Un jour, il faut que je me le fasse.
Pourquoi ne pas avoir essayé la loterie sur place pour The Wave ?
Ça fait bizarre de voir cette piste tout sèche. Désolé pour les ornières
Et dire qu'on s'est loupé de quelques jours à Kanab. C'est vraiment dommage
C'est vraiment magnifique CBS et White Pocket Un jour, il faut que je me le fasse.
Pourquoi ne pas avoir essayé la loterie sur place pour The Wave ?
Ça fait bizarre de voir cette piste tout sèche. Désolé pour les ornières
Et dire qu'on s'est loupé de quelques jours à Kanab. C'est vraiment dommage
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Re: 52 jours chez l'oncle Sam
Sublime carnet
Je comprends que Luke soit parti dans une rêverie irrépressible direct !!!
Sequoia, Havasupai, Sedona, CBS...que du top niveau, merci pour la balade
P.S : Je compatis pour le French Kiss devant chaque rocher
Je comprends que Luke soit parti dans une rêverie irrépressible direct !!!
Sequoia, Havasupai, Sedona, CBS...que du top niveau, merci pour la balade
P.S : Je compatis pour le French Kiss devant chaque rocher
Carnet de voyage 2010 : " De retour du paradis Ouest Américain..."
http://www.sunsetbld.com/forum/topic2995.html
Carnet de voyage 2012 : "Back to Paradise...Chicago and the Southwest" (en rade...)
http://www.sunsetbld.com/forum/topic6510.html
Carnet de voyage 2014 : "Welcome to Colorful Colorado and Land of Enchantment" (en rade bis)
http://www.sunsetbld.com/forum/topic9057.html
Carnet de voyage 2019 : "Contrées du Nord-Ouest américain en camping septembre 2019 (Californie du Nord, Oregon, Idaho, Wyoming, Dakota du Sud"(en cours)
viewtopic.php?f=20&t=13234
http://www.sunsetbld.com/forum/topic2995.html
Carnet de voyage 2012 : "Back to Paradise...Chicago and the Southwest" (en rade...)
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Carnet de voyage 2014 : "Welcome to Colorful Colorado and Land of Enchantment" (en rade bis)
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- 22sky33
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Re: 52 jours chez l'oncle Sam
Oui, c'est faisable, mais on ne voulait pas se salirlOckl@n a écrit :Hi
Par contre au retour, nous avons enjambé cette paroi rocheuse avec plus de facilité que nous le pensions au départ.
Même en fouillant bien ?luke06 a écrit :Merci pour cette suite merveilleuse c'est votre carnet qui m'a donné envie de ma rêverie Par contre je ne pense pas avoir 52 jours
Parce que l'on n'a jamais gagné au loto . Oui c'est dommage mais cela explique sans doute pourquoi nous n'avons pas eu de pluie :Pjulo40 a écrit : Pourquoi ne pas avoir essayé la loterie sur place pour The Wave ?
Et dire qu'on s'est loupé de quelques jours à Kanab. C'est vraiment dommage
Merci beaucoup, les américains sont quand même coquins.Legibus a écrit :Sublime carnet
P.S : Je compatis pour le French Kiss devant chaque rocher